Florian Bourdon

18 mois d’aventure : le bilan de Florian

Bienvenue dans la découverte de cette nouvelle séquence WAOUW. Lors de ces séquences, nos élèves partagent leurs petites et grandes victoires dans leur parcours vers leur nouvelle vie d’entrepreneur du bien-être. Dans cet opus, nous découvrons l’histoire de Florian Bourdon, certifié des formations 5.3 Nutrition, Gestion du Stress et Préparation Mentale et Entrepreneur.

Pourquoi es-tu passionné par le bien-être ?

Florian Bourdon : « J’ai des parents qui sont issus du bien-être, ma mère était sophrologue relaxologue et mon père était géobiologue radiesthésiste. J’avais toujours des thérapeutes dans la maison de famille quand j’étais petit, donc j’écoutais un petit peu d’une oreille, ça m’intéressait beaucoup. C’est surtout que je suis un ancien obèse et un ancien habitué des dépressions et des burn-outs. Avant, j’étais ingénieur en informatique, j’ai fait ça pendant dix ans et pendant ces dix années, j’ai vécu deux burn-outs et une grosse dépression. C’est pour ça que j’avais déjà commencé il y a maintenant trois ans à changer ma façon de m’alimenter, à revoir ma vie globalement, parce que je commençais vraiment à être en très mauvaise santé, j’étais en obésité morbide, j’avais atteint plus de 120 kilos pour 1m70. Je me suis repris en main et je me suis intéressé de plus en plus au bien-être. Voilà pourquoi aujourd’hui, je suis là-dedans ».

18 mois d’aventure : le bilan de Florian.

Quel a été ton déclic ?

« Mon déclic, c’est que j’ai toujours fait pas mal de sport, je faisais du handball depuis très longtemps, mais j’adorais surtout faire des randonnées. Je suis amoureux de la Haute-Savoie et de la Savoie, et j’adore randonner, j’y allais tous les ans. Il y a trois ans, je suis allé faire une randonnée, et le seul circuit que je faisais tout le temps pour m’échauffer, qui n’est vraiment pas très compliqué, un enfant de 8 ans peut le faire sans problème, et bien moi, au bout d’une demi-heure, je n’en pouvais plus, mes jambes me portaient plus.

Je suis revenu à mon logement et j’ai passé toute la semaine dans mon Airbnb à ne plus pouvoir bouger. Ça a été déjà un premier déclic de me dire que ce n’était plus possible, de ne plus faire ce que j’adorais, ce n’était pas envisageable. Pour l’anecdote, là-bas, il y avait un immense miroir, ce que je n’avais pas chez moi, dans mon appartement, j’avais juste les petits miroirs au-dessus du lavabo. En sortant de la douche, je me suis vu dans ma globalité.

Le deuxième déclic, c’est de me dire que ce n’était plus possible, tu ne peux pas continuer comme ça, donc il faut absolument que tu fasses quelque chose. C’est vraiment là le déclic que j’ai eu de changer ma façon d’être et d’améliorer mon bien-être. Ensuite, mon déclic de pourquoi j’ai voulu me lancer là-dedans, c’est parce que dans mon dernier boulot, je n’allais pas faire un burn-out, mais l’inverse, j’allais faire un bore-out, où je m’ennuyais complètement et je n’avais rien à faire de mes journées.

C’est là où j’ai pris conscience que ce que je faisais depuis dix ans, ça ne m’animait plus du tout et qu’il fallait que je fasse autre chose. J’ai décidé de complètement tout arrêter sans trop savoir quoi faire après, mais au moins, j’ai tout coupé et après, j’ai pu me poser et réfléchir et me dire, si je m’étais déjà aidé moi-même, pourquoi ne pas aider les autres aussi à retrouver une Pleine Santé comme moi j’ai aujourd’hui. C’est comme ça que je me suis lancé là-dedans ».

Combien de clients as-tu ?

« Aujourd’hui, j’en ai une dizaine en programme et depuis plus d’un an, j’en ai accompagné une cinquantaine. Maintenant que l’on fait de la Pleine Santé, il faut que tout le monde le comprenne bien aujourd’hui, j’accompagne à la fois en nutrition et en gestion du stress.

Je me suis rendu compte que toutes les formations de l’École 5.3 sont indissociables avec les 5 facteurs du vivant. Au bout d’un mois, ils ont compris comment il fallait bien manger avec l’assiette santé.

J’ai constaté que la plupart du temps, ce n’était pas ça le réel problème, le réel problème était l’émotionnel, et le stress. C’est ça qui les empêche de maigrir ou qui les fait grossir.

C’est ça que j’ai développé de plus en plus depuis un an, par expérience de mes accompagnements.

J’en fais beaucoup plus aujourd’hui. Je continue toujours de me former. La méthode de notre docteur Yann Rougier, sur les cinq facteurs du vivant, prend bien tout son sens. On prend en charge une personne dans sa globalité. C’est ça qui fait la vraie différence ».

Ton objectif maintenant est de vivre de cette activité ?

« Absolument, j’ai quitté mon travail, j’ai fait une rupture conventionnelle, j’ai eu la chance d’avoir Pôle Emploi et de développer en parallèle. L’objectif, c’est clairement de vivre de ma passion pour le bien-être, la nutrition, la gestion des émotions et du stress. Il est hors de question pour moi de revenir en arrière et de devoir refaire autre chose. Ça a été beaucoup trop compliqué pour moi dans ce que je faisais avant, et ce n’est plus du tout ma vie, donc il est hors de question que je retourne là-dedans. Je fais ce qu’il faut pour pouvoir vivre de ma passion.

Il faut quand même se dire que dans le pôle entrepreneur, on parle de trois ans pour pouvoir vivre de sa passion, ce n’est pas utopique, mais il faut bien comprendre qu’il faut quand même prendre son temps. Ce n’est pas en trois mois qu’on va complètement retrouver le salaire de salarié qu’on pouvait avoir avant. Éventuellement, il faut toujours garder une sécurité. Moi, j’avais Pôle Emploi, mais sinon pour d’autres, c’est le salariat, mais on peut totalement vivre de sa passion en développant plein de choses.

Moi, je développe le coaching, mais j’ai aussi développé des choses avec des partenaires avec qui je travaille, où on s’envoie des clients, on fait des accompagnements beaucoup plus poussés pour ouvrir le champ des possibles à plusieurs, avec des sophrologues, hypnothérapeutes, etc. On crée même des programmes ensemble. On fait des ateliers avec des conférences pour ne pas faire que du coaching et de l’accompagnement, mais pour pouvoir avoir des sources de revenus supplémentaires et faire beaucoup plus de choses ».

Quelle est la prochaine étape ?

« La prochaine étape, c’est que je voudrais avoir à moins déléguer chez d’autres personnes, du coup, je me forme encore plus, donc je me forme en tant que praticien en programmation neurolinguistique (PNL), pour pouvoir encore plus transformer les autres et ouvrir encore plus le champ des possibles et développer plus cette partie-là, tout en gardant la nutrition.

Moi, je n’ai pas du tout honte de dire que j’ai franchement transformé des vies avec juste les outils du docteur Rougier, avec la respiration et l’assiette santé ».

Te sens-tu légitime ?

« Totalement. On se sent légitime déjà parce qu’on a des compétences qui sont à jour de ce qu’il faut savoir aujourd’hui et ça fonctionne. Quand vous vous sentez légitime et que vous dispensez vos compétences et vos connaissances, et qu’en face il y a les résultats, vous êtes obligé de vous sentir légitime et de toute façon, vous devez vous sentir légitime parce que ce que vous apprenez, ça fonctionne ».

Est-il possible de vivre de sa passion ?

« Complètement. Alors, ce n’est pas encore totalement mon cas aujourd’hui, mais je travaille tous les jours pour ça. Comme je disais, ça prend son temps, mais c’est totalement possible de vivre de sa passion. On a des exemples d’autres Étoiles qui, en ayant collaboré avec un très bon partenaire, arrivent totalement à vivre de leur passion. Il ne faut pas hésiter à développer ces partenariats. Moi, j’essaye au quotidien de développer des nouveaux partenaires jusqu’à trouver celui qui m’apportera des dizaines de clients ».

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