Hello, hello les entrepreneurs du bien-être, la vie, parfois, met sur notre chemin des personnes inspirantes. La grande chance que nous avons, à l’École 5.3, c’est que nos élèves nous donnent chaque jour des raisons de les admirer et de prendre modèle sur leur détermination, leur audace ou leur créativité.
Et c’est d’ailleurs une élève de cette trempe que je voulais vous présenter aujourd’hui.
Je vous invite à passer quelques minutes avec Elodie, élève de l’École 5.3, épouse et maman passionnée de nutrition, qui a décidé de passer son BTS Diététique !
Découvrez avec moi l’épopée de cette incroyable étoile au firmament de 5.3 !
Des débuts prometteurs
Auparavant Directrice de mutuelle, Elodie s’intéresse au bien-être par plaisir.
Elle s’inscrit à l’École 5.3 et valide 3 blocs de formation.
Au début, elle souhaitait faire de son activité dans la Pleine-Santé un complément de revenus. Puis, devant la quantité de demandes et le plaisir qu’elle prend dans cette nouvelle activité, elle s’oriente vers une vraie reconversion.
Pour Elodie, le médicament est dans l’assiette. Manger, bouger, c’est la vie ! Elle conclut divers partenariats et développe son activité rapidement. Mais voilà, elle constate que les professionnels de santé n’ont pas le temps nécessaire à une prise en charge complète et un accompagnement régulier, et ne font le plus souvent, par manque de temps, que des renouvellements d’ordonnance et d’examens de contrôle… Ils s’en remettent donc à Elodie pour accompagner leurs patients de plus en plus en demande de soutien pour atteindre leurs objectifs santé.
Devant ces besoins croissants et des demandes de plus en plus précises, Elodie s’interroge et découvre qu’il n’existe aucun.e diététicien.ne à 50 Km à la ronde… et devant les résultats obtenus par les clients qu’elle a accompagnés, les médecins l’encouragent à passer le BTS diététique.
La graine est plantée…
Après avoir bien étudié la question, Elodie se lance et s’inscrit au BTS via le CNED.
L’aventure BTS, Attention, interview !
Peux-tu nous parler de ton inscription au BTS ?
J’ai choisi de m’inscrire au BTS via le CNED. Je n’ai pas eu besoin de remise à niveau. J’ai eu le choix entre une formation en 2 ou 3 ans. J’ai opté pour une formation en 2 ans, mais avec le recul, j’aurais dû prendre une formation sur 3 ans pour prendre le temps de faire mes 15 semaines de stages, car la formule sur 2 ans est difficile à tenir avec des vies personnelles et professionnelles bien remplies.
Lorsque j’ai pris cette décision, j’étais inscrite à Pôle Emploi. J’ai donc pu demander une prise en charge de ma formation pour reconversion professionnelle, qui m’a été accordée. Ma formation a donc été financée par Pôle emploi.
Je dois avouer que c’est un challenge très difficile que je me suis lancée, mais je tiens le cap pour réaliser mon projet.
A quelles difficultés as-tu dû faire face pendant cette formation ?
Je dirais l’organisation, le rythme de travail et le fait de se remettre à certaines matières. C’est toujours plus compliqué quand on a quitté l’école il y a un moment ! Il faut dire aussi que suivre cette formation en distanciel n’est pas simple.
Le CNED donne l’accès aux cours, aux professeurs et à des zones d’échange par mail ou chat, mais il n’y a pas de suivi, pas de groupe, pas de cohésion… On se sent vraiment isolée. On peut échanger par mail avec les professeurs, mais tout cela manque d’humanité, et c’est difficile de garder sa motivation.
Pour ma part, j’ai pallier ce manque en prenant en plus un coaching de groupe payant, à distance aussi mais la force du groupe est là et motive beaucoup. Je reçois aussi beaucoup de soutien de la part de l’École 5.3, et ce n’est pas négligeable. J’ai aussi beaucoup appris avec mes maîtres de stage, que je remercie.
Quelques trucs pour surmonter ces difficultés ?
Oui !
D’abord, le soutien et la motivation de la famille et des amis, c’est capital. Chez moi, mon mari et mes enfants sont très compréhensifs, et m’encouragent dans mon projet. Pendant mes heures de travail et de révision à la maison, la famille considère que je suis sur mon lieu de travail et qu’il n’est pas possible de me déranger. Un peu comme si j’étais à mon cabinet par exemple. Le respect de ce temps et de cet espace de travail est indispensable pour maintenir ma concentration.
Ensuite, il faut être rigoureux, notamment au niveau de l’organisation. Il faut prendre conscience qu’il y a beaucoup d’informations à assimiler en peu de temps pour acquérir les compétences nécessaires. Très rapidement, un rythme et une organisation se sont imposés, et je m’y tiens pour ne pas être dépassée.
J’organise aussi mes révisions lors des séances de coaching de groupe. On travaille sur des thématiques précises sur des demi-journées. J’ai un planning précis et je le respecte.
Les épreuves se déroulent du 27 mai au 14 juin, puis tu as une soutenance en septembre. Quel est ton mindset en ce moment ?
Et bien, pour tout dire… je suis épuisée intellectuellement. Alors je fais bien attention à respecter mes limites. Je m’impose des temps de pause obligatoire pour relâcher la pression, car je suis toujours la tête dans le guidon. Mais je sais que j’ai pris la bonne décision. Je me suis lancé un défi, un challenge que je suis en train de relever et j’en suis très fière. Je me donne tous les moyens possibles pour réussir. Avec le soutien de ma famille, de l’École 5.3, de mon coach, etc…, j’ai toutes les chances d’y arriver
Devant cette belle énergie et ce fabuleux mindset, on ne peut que se sentir admiratif (ve). Quoi qu’il arrive, une chose est certaine : Elodie Fieschi a donné le meilleur d’elle-même pour réaliser son rêve, et rien que pour ça, elle peut être totalement fière d’elle.
J’ai donné RDV à notre super étoile vers le mois d’octobre, après l’annonce des résultats. D’ici là, on croise les doigts. Bonne chance à toi Elodie, on est tous et toutes avec toi !
Super 5.3 pour vous servir !
