Hello, hello les Entrepreneurs du Bien-Être. Parmi les parcours inspirants de l’école 5.3, je suis très contente aujourd’hui, de mettre à l’honneur celui d’un homme, qui plus est expert de l’équipe : Hugo Dugast.
Après une séquence Waouw très inspirante, retour sur un jeune coach sportif épatant, qui, à tout juste 21 ans, a pris ses rêves et sa vie en main pour s’envoler vers son objectif ultime : vivre de sa passion pour le pleine santé.
Lumière sur ce jeune entrepreneur plein d’étoiles dans les yeux (et de muscles !).
1,2,3… on saute !
Lorsqu’on demande à Hugo de nous parler de son saut dans la vie d’entrepreneur, il ne cache pas une période de doute… qu’il a bien fallu surmonter.
Comment as-tu vécu cette période de doute et comment as-tu réussi à la surmonter ?
En continuant ! Je me suis fait confiance, je me suis “auto convaincu”. Je me suis dit que des périodes de doute, j’en aurai toujours. Alors je me suis fixé de petits objectifs, pour avancer tranquillement et aller de plus en plus loin. Et j’ai avancé comme ça. J’étais content à chaque petit objectif atteint.
Aujourd’hui, j’ai toujours des doutes, surtout concernant mes revenus. Enfin, c’est plutôt une peur. Mais elle est de moins en moins présente.
Qu’as-tu appris de cette période et que tu souhaites transmettre à ceux qui sont dans le même cas que toi ?
Se poser des ultimatums ! Et savoir si on est prêt à retourner en arrière. Pour moi, c’était clair : hors de question de faire demi-tour et de revenir dans le salariat !
Il ne faut surtout pas procrastiner. Action, action ! Mais il faut faire attention : beaucoup d’activités prennent plus de temps qu’elles ne devraient ! Chercher un nom ou un logo pour son activité par exemple… Il faut couper court et ne pas hésiter à valider quelque chose d’imparfait, quitte à y revenir plus tard… S’attarder sur des détails, c’est de la procrastination active, et c’est chronophage.
Le recrutement de ton premier client a-t-il été compliqué ? Comment as-tu procédé pour y parvenir ?
Et bien, ça a été difficile pour moi de me sentir à l’aise. J’avais un problème de légitimité. J’ai dû me convaincre de ma valeur, et je me suis lancé. C’est en parlant de mon activité dès que je le pouvais que j’ai eu mes 2 premiers clients.
Mon premier client (qui a payé son accompagnement), c’était un membre de la famille. Alors, je suis resté avec un doute : a-t-il choisi que je l’accompagne pour me donner un coup de pouce ? Son avis est-il objectif ?…
La deuxième cliente, que je suis encore aujourd’hui, est une personne rencontrée à la salle de sport où je m’entraîne. Elle a choisi un premier accompagnement, puis un deuxième, et elle a choisi de continuer sa route avec moi. Je suis content car elle a déjà essayé d’autres coachings qui ne lui ont pas convenu.
Le fait qu’elle continue avec moi est la preuve que mon accompagnement présente une réelle différence et apporte une vraie satisfaction.
Et j’ai été surpris de voir que le prix de l’accompagnement n’était pas un frein pour les clients. J’ai pu aussi me débarrasser de cette croyance, et je suis très à l’aise avec mes prix.
Est-ce que le fait d’avoir une dizaine de clients maintenant t’aide à te sentir plus légitime ?
Et bien, comme je l’ai dit, au début, j’ai accompagné des membres de la famille, alors je m’interrogeais sur leur objectivité, et j’avais du mal à me sentir pleinement légitime.
Mais quand de nouveaux clients m’ont fait confiance, j’ai été conforté dans ma légitimité ! J’ai reçu mon premier client en février, et aujourd’hui, 5 mois après, j’en ai une dizaine !
Je suis très optimiste pour la suite ! Je me suis fixé une échéance : au bout d’un an, je veux vivre pleinement de cette activité ! Ça motive !…
En quoi la formation de l’École 5.3 est-elle complémentaire à celle de coach sportif ?
On comprend tout de suite que la nutrition est en lien direct avec le sport. La gestion du stress est elle aussi un vrai plus.
Ce qui est formidable, c’est qu’on nous donne les clés pour apprendre et transmettre des choses complexes de manière accessible à tous.
Et ça fait la différence. J’ai de très bons retours sur cette approche.
Entre devoir trouver son persona, construire son offre, faire les démarches pour créer ton entreprise et recevoir ton premier client, qu’est-ce qui a été le plus difficile ?
Et bien, je dois avouer que c’est établir le persona… d’ailleurs, il n’est pas encore vraiment déterminé. J’ai beaucoup de mal avec cette partie. J’ai pris une formation entrepreneuriale supplémentaire pour tenter de démêler tout ça, mais ça reste compliqué.
L’autre point, c’est la création de l’entreprise. J’ai horreur des démarches administratives !
Et sur ce plan, je dois dire que l’École 5.3 m’a beaucoup aidé. D’ailleurs, un grand merci à David qui a su être très présent et disponible en répondant très rapidement à toutes mes questions !
Même si tu as en partie répondu à cette question, peux-tu me dire si tu t’es senti accompagné par l’école 5.3 sur cette problématique ? Et comment on t’a aidé à la solutionner ?
Et bien, pour la création d’entreprise, je l’ai dit, j’ai été parfaitement épaulé. Pour la partie Persona, même si cette problématique perdure, l’École 5.3 m’a donné les clés pour comprendre comment il fallait faire. Il ne tient qu’à moi de bien définir ce persona.
Malgré cela, j’ai des clients ! c’est la preuve qu’il n’y a pas besoin que tout soit parfait pour démarrer. Je me sers de mes premières expériences en accompagnement pour affiner le profil de mon persona.
J’ai une idée en tête qui ne correspond pas, pour l’instant, à celle des clients que j’accompagne, mais cela va se régler avec le temps. Le principal est de rester dans l’action !
Et voilà mes amis ! Une bonne dose de positivité avec Hugo, ultra motivé, avec un mindset de fou, qui avance tel un bulldozer vers son idéal !
On se retrouve bientôt pour une nouvelle rencontre étoilée !
Bisous, bisous !
Super 5.3 pour vous servir !
