Intégrer une maison de santé : c’est le nouvel objectif de Lucile Antoine, ancienne professionnelle des ressources humaines reconvertie avec passion dans le bien-être. Après des années à évoluer dans un environnement déconnecté de ses valeurs, elle s’est réorientée vers l’accompagnement en nutrition et en gestion du stress.
Une reconversion audacieuse, qu’elle construit étape par étape, avec comme fil conducteur l’envie de rejoindre une maison de santé pour inscrire son travail dans une démarche pluridisciplinaire et durable.
Revenir à ses premières aspirations
Lucile ne s’est pas lancée dans cette aventure sans réflexion. Pendant longtemps, elle a exercé dans les ressources humaines, un domaine qu’elle maîtrisait mais dans lequel elle ne se reconnaissait plus. Le besoin de sens s’est fait de plus en plus pressant.
« À un moment donné, j’ai ressenti le besoin de retrouver du sens à ma vie pro. Donc j’ai décidé de revenir à mon premier amour qui était la nutrition. »
Ce retour à l’essentiel l’a conduite à envisager une reconversion professionnelle sérieuse. Elle commence alors à rechercher une formation qui allierait rigueur, accessibilité et impact. C’est ainsi qu’elle découvre l’École 5.3.
Une formation révélatrice
La découverte de l’univers 5.3 et de l’accompagnement pleine santé marque un tournant décisif dans son parcours. Lucile explore alors des approches complémentaires autour de la nutrition, de la gestion du stress, des émotions et de la phytothérapie. Ce cheminement lui apporte à la fois de la confiance… et une véritable méthode.
« J’ai trouvé la formation de l’école 5.3 et ça a été une révélation. »
Elle découvre une pédagogie claire, accessible, qui correspond à ses attentes tout en lui ouvrant de nouvelles perspectives professionnelles. Cette première étape lui permet de poser les fondations d’un projet plus vaste : exercer en cabinet, puis rejoindre une maison de santé pour toucher un public plus large et travailler en collaboration avec d’autres professionnels du soin.
Le choix courageux de tout quitter
Forte de ces apprentissages, Lucile prend une décision radicale : quitter son emploi salarié pour se consacrer entièrement à sa nouvelle voie. Ce choix n’est pas évident, mais s’impose à elle comme une évidence.
« Je me suis dit, aucun regret, il faut que je me lance, même s’il faut que je reprenne un job après. »
Le temps partiel lui étant refusé, elle préfère faire un saut dans le vide plutôt que de rester dans une situation qui ne lui correspond plus. Elle se donne un an pour faire ses preuves. Pendant cette période, elle se consacre entièrement à son projet : elle ouvre un premier cabinet, puis un second. Cette expérience de terrain nourrit encore davantage son envie d’intégrer une maison de santé, structure qu’elle considère comme idéale pour assurer un accompagnement global, coordonné et efficace.
Une approche complète, au cœur du mieux-être
Lucile développe une pratique unique qui combine nutrition et gestion des émotions. Elle ne sépare jamais le corps de l’esprit, persuadée que les résultats ne peuvent être durables que si l’on agit sur les deux plans.
« L’un ne peut pas aller sans l’autre. Si on veut des résultats, c’est forcément travailler les deux côtés. »
Cette vision holistique du bien-être est aujourd’hui recherchée dans de nombreuses maisons de santé, où le travail en équipe permet d’aborder les problématiques des patients sous plusieurs angles. Pour Lucile, intégrer une maison de santé représente donc bien plus qu’un débouché professionnel : c’est l’opportunité de mettre en pratique pleinement son approche globale et humaine.
S’intégrer dans une maison de santé : un cap à franchir
Aujourd’hui, Lucile est en discussion avec une maison de santé pour rejoindre leur équipe. L’intégration n’est cependant pas immédiate : elle se heurte à une limite administrative, car certaines structures exigent un diplôme d’État pour valider l’intégration dans leurs protocoles.
« Là où je me retrouve un peu bloquée, c’est sans ce titre et ce numéro ADI. »
Lucile réfléchit donc à deux solutions : obtenir ce titre via une VAE ou entamer un BTS diététique. Ces démarches ne la découragent pas, au contraire : elles confirment son envie de légitimer encore davantage son travail et de contribuer activement au fonctionnement d’une maison de santé.
Construire un futur professionnel durable
Malgré les obstacles, Lucile reste convaincue que cette reconversion est le bon choix. Chaque mois passé à accompagner ses clients, chaque retour positif, renforce sa détermination.
« On peut vivre de sa passion. C’est ce qui m’a freinée, je pense, de nombreuses années. »
La possibilité d’exercer dans une maison de santé est pour elle l’aboutissement naturel de son évolution. Cela lui permettrait d’exercer son métier dans un cadre structuré, de bénéficier d’un réseau interdisciplinaire et de proposer un suivi plus large aux patients.
@Ecole-5.3 – Lucile monte son Activité Bien-Être en 1 an 💪
Croire en soi et en son chemin
Lucile sait que son parcours peut inspirer d’autres personnes en quête de sens professionnel. Son message est clair : il est possible de changer de vie, même après des années de stabilité apparente. Il faut parfois accepter les étapes difficiles, mais elles permettent d’avancer.
« Et si on n’y arrive pas, c’est que ce n’était peut-être pas le bon moment… Mais c’est pas grave, on apprend. »
Aujourd’hui, elle ne lâche rien. Son objectif reste intact : intégrer une maison de santé pour faire rayonner une approche du bien-être profondément humaine et efficace.
Nutrition, émotions, écoute, engagement… Lucile a su transformer un virage personnel en projet professionnel porteur de sens. À travers son accompagnement et son projet de rejoindre une maison de santé, Lucile trace un chemin engagé vers un soin plus humain, plus complet, plus aligné.
