Bienvenue dans la découverte de cette nouvelle séquence WAOUW. Lors de ces séquences, nos élèves partagent leurs petites et grandes victoires dans leur parcours vers leur nouvelle vie d’entrepreneur du bien-être. Dans cet opus, nous découvrons l’histoire de Marie-Élodie, certifiée des formations 5.3 Nutrition, Gestion du Stress et Préparation Mentale, Entrepreneur, et Phytothérapie et Micronutrition.
Quand as-tu rejoint l’École 5.3 ? Pourquoi es-tu passionnée par la Pleine Santé ?
Marie-Élodie Fieschi : « J’ai rejoint l’École 5.3 en février 2022, j’ai suivi l’ensemble des formations et j’attends les prochaines pour les suivre également. Au niveau familial et amical, j’ai toujours été baigné autour de personnes passionnées de bien-être ainsi qu’autour de professionnels de santé. Mon dernier métier portait également sur la santé, l’accompagnement en santé et la prévention santé auprès de personnes. Lors de mes formations à distance que j’avais commencées parce qu’il y avait beaucoup de télétravail dans le métier dans lequel je pratiquais, je me suis dirigée vers l’École 5.3 et ça m’a fait un déclic je pense, entre mon entourage amical, familial et professionnel. Après, je me suis concentré pour développer une activité dans le bien-être et autour de la nutrition en particulier ».
Comment as-tu commencé ton activité ? Quel a été le déclic pour toi ?
« Le déclic, ça a été suite à mes bêta-testeurs, j’avais cinq bêta-testeurs durant la formation nutrition et gestion du stress, et suite à l’accompagnement que j’ai fait auprès d’eux, j’ai vu que ça fonctionnait, que ça marchait et ça me donnait de plus en plus l’envie d’aller plus loin.
J’ai continué avec les bêta-testeurs qui ont fait du bouche-à-oreille et qui m’ont fait obtenir des clients. J’ai ensuite développé un partenariat principal où je suis en Corse. Je me suis rendue dans une maison de santé et je me suis présentée. Je me suis dirigée vers la maison de santé à trois kilomètres de chez moi, avec mon médecin traitant, donc je n’ai pas cherché bien loin.
J’y suis allée avec mes certifications, avec ma présentation, en leur disant ce que je pouvais faire avec eux au sein de la région. Ils m’ont dit OK, on essaye, c’était l’année dernière au mois de septembre et j’y suis encore ».
Combien de clients as-tu et où en es-tu dans tes objectifs initiaux ?
« Au niveau des objectifs initiaux, je m’étais fixé cinq objectifs de développement de partenaires en présentiel. Ils sont atteints, voire même dépassés. Ce matin, j’en ai conclu un nouveau qui n’était pas du tout prévu. Pour la petite histoire, j’ai amené ma fille voir son médecin au sein de l’école et en discutant avec le médecin, j’ai pu apprendre qu’elle a deux casquettes et qu’elle est en double emploi.
Elle travaille aussi au sein des maisons médicalisées pour personnes handicapées et elle m’a demandé de les rejoindre. Elle m’a demandé ce que je faisais. J’ai dit que j’étais en reconversion, en train de passer un BTS diététique et que j’étais certifiée en nutrition avec un organisme de formation. J’ai cité l’École 5.3, et puis, en partant, elle m’a demandé ma carte de visite.
Elle va m’accueillir au sein d’un institut pour faire des ateliers de groupe avec la diététicienne en place. Voilà, donc j’ai dépassé les objectifs initiaux !
Nombre de clients à ce jour ? J’ai dû les compter pour la séquence Waouw, j’ai dépassé les 65 !
Les prochains objectifs ? Les prochains, c’est de me développer un peu plus sur les réseaux professionnels et les réseaux sociaux. Au niveau des partenaires en présentiel, j’ai atteint mes objectifs. Je vais un peu plus travailler sur le site internet, sur les réseaux sociaux, faire développer les ateliers de groupe, faire des conférences et assister à des salons. Voilà pour l’année 2023-2024, ce que je me suis fixée ».
En combien de temps d’activité as-tu obtenu tes clients ?
« Alors j’ai commencé réellement au sein de la première maison de santé en octobre 2022 et je suis sur trois pôles différents. Concernant la question, comment gérez-vous 60 clients au mois ? Alors ce n’est pas au mois, mais c’est depuis le début que j’ai 65 clients donc ça tourne. En fait, le « côté commercial » m’a fait aller dans des maisons de santé parce que vous êtes assuré de la clientèle et de la patientèle. Les médecins, dès lors que vous avez fait vos preuves, qu’ils ont confiance en vous et qu’il y a un échange, naturellement, il vous envoie les patients et du coup, c’est presque le fonds de roulement de mon activité. Depuis le début, donc depuis octobre, j’ai suivi 65 personnes ».
Quel conseil donnerais-tu aux personnes qui souhaitent se lancer comme toi ?
« Alors déjà qu’on est au bon endroit ! Parce que, une fois qu’on rentre dans cette École, on n’en sort plus ! On est entouré d’une équipe bienveillante, il faut le souligner, parce que ça a été le facteur déclencheur de mon inscription auprès de l’École 5.3. Une équipe d’experts, une équipe bienveillante et une équipe qui stimule et qui donne toute l’énergie.
Même quand on a un doute, on sait que l’on n’est pas seul, parce qu’on a beaucoup de personnes derrière nous pour nous aider sur différents supports par le biais de plusieurs canaux de communication également. J’insiste aussi sur ce point-là, même si des fois, on a l’impression de trop en avoir, on n’a jamais trop d’aide.
Il est important de suivre les étapes step by step, comme le conseille l’École 5.3, c’est-à-dire de parler de son activité au fur et à mesure. C’est en suivant les recommandations et la formation, pas après pas, que j’en suis là aujourd’hui. Je n’ai pas de baguette magique, je n’ai pas donné de potion magique aux gens qui m’ont dit « oui ».
Si j’ai un « non », j’analyse le pourquoi et je sors par la porte, mais je rentre par la fenêtre ou par tout biais possible. C’est vrai que l’on m’a refusé une maison de santé. Du coup, j’y suis retourné. J’affichai de temps en temps « Marie-Élodie, entreprise qui fait de la marche et des ateliers culinaires » et en fait, c’est les personnes de la maison de santé, donc les patients des professionnels de santé dedans qui disait « On fait cela avec cette dame, on a fait ça d’abord et on a fait ça avec elle ».
Du coup, il y en a un qui m’a appelé et c’est l’infirmière du troisième pôle dans lequel j’exerce, qui m’a appelée. On est en train de monter un projet. Voilà, donc on sort par la porte, on rentre par la fenêtre, on suit les conseils et il ne faut pas penser que c’est difficile. C’est accessible. Il suffit d’y croire, de croire à ce qu’on a, parce qu’on est légitime dans ce que l’on fait une fois qu’on est certifié ».
Souhaites-tu rajouter quelque chose ?
« Qu’il est possible de vivre de sa passion ! Alors après, là aussi, on y va à son rythme. Il y en a qui vont très vite, il y en a qui vont moins vite. Il y en a qui ont du mal à démarrer. Chacun son rythme. On sécurise l’aspect financier parce que c’est quand même une décharge mentale.
Il faut être sécurisé au niveau financier pour avancer dans son activité, pas après pas, et le jour où on se sent prêt de passer le cap, il ne faut pas hésiter, parce que les conseillers de Pleine Santé, comme l’a dit tout à l’heure Solane, il n’y en a pas beaucoup. Une fois que la personne en face de vous, a compris ce que vous faites, elle ne vous lâche plus ! ».
Est-il possible aujourd’hui de vivre de sa passion ?
« Tu tapes à la bonne porte ! Parce que je me suis reconvertie, j’ai quitté mon travail le 5 mai 2022 et je suis pleinement conseillère Pleine Santé et également experte au sein de l’École 5.3. Mon activité principale est devenue conseillère en Pleine Santé. Oui, on en vit très bien ».
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