Bienvenue dans la découverte de cette nouvelle séquence WAOUW. Lors de ces séquences, nos élèves partagent leurs petites et grandes victoires dans leur parcours vers leur nouvelle vie d’entrepreneur du bien-être. Dans cet opus, nous découvrons l’histoire de Rachid, certifié des formations 5.3 Nutrition, Gestion du Stress et Préparation Mentale, et Entrepreneur.
Pourquoi es-tu passionné par la Pleine Santé ?
Rachid Boubkar : « J’ai commencé mon activité il y a un an, juste après avoir terminé la nutrition.
Pourquoi je me suis orienté vers la nutrition ? Pourquoi m’orienter vers la Pleine Santé ?
Tout simplement parce que j’ai été combattant depuis toujours au niveau national et j’ai toujours été confronté à ce besoin de perdre du poids et de faire des régimes pour pouvoir tenir dans des catégories de poids.
Quand on fait du combat de boxe, on a des catégories de poids à respecter. Le problème, c’est quand on n’a pas de notion dans la nutrition, on fait des yoyos, on gagne du poids et on perd du poids. On arrive à des moments où on est en très mauvaise santé, on a plus de pêche et on a plus envie, et ça devient très compliqué pour un sportif.
Quand on est en très mauvaise santé, avec un état dépressif, on a envie de manger, mais on ne peut pas. Il faut qu’on se retienne, il faut qu’on se prive. À un moment donné, la carrière sportive, elle prend une claque et on a du mal à se remettre dedans.
J’ai cherché un peu partout une formation pour pouvoir m’orienter vers la nutrition et apprendre des choses, et je suis tombé sur l’École 5.3 ! ».
Quel était ton objectif de départ ?
« Mon idée de départ, c’était d’entraîner les personnes que j’accompagnais dans les compétitions, à perdre du poids et surtout à se maintenir, à rester en bonne santé, et à avoir la pêche quand ils ont les combats à faire ».
Comment as-tu développé ton activité d’accompagnement ?
« Au début, j’ai commencé avec mon association pour apprendre et comprendre, et surtout pour avoir une forme d’expérience. J’ai démarré avec les proches de l’association et ça a fonctionné. J’ai pris de l’expérience, j’ai pris de la confiance et après, je me suis lancé avec les réseaux grâce à l’École 5.3, en apprenant à ouvrir un compte Instagram, un compte Facebook et puis commencer à communiquer avec ces réseaux. Cela m’a permis de coacher des personnes de l’extérieur que je ne connaissais pas ».
Où est-ce que tu en es maintenant dans ton parcours ?
« Alors là, je suis monté à 19 personnes que j’ai suivies. Les dix premières personnes que j’ai suivies sont désormais autonomes. Je les contacte de temps en temps, tous les deux mois, en leur envoyant un petit message pour garder le lien et puis rester ensemble parce que tous ensemble, c’est mieux que tout seul.
Actuellement, j’ai encore cinq personnes que je suis, mais j’ai fortement ralenti. J’ai levé le pied sur les coachings puisque je suis rentré en formation de management dans le médico-social ».
Quel est le but de cette formation dans ton métier de Conseiller Pleine Santé ?
« Aujourd’hui, je suis manager depuis quatre ans, j’ai fait éducateur spécialisé 17 ans et c’est un dur métier parce qu’accompagner les personnes en difficulté, les petits jeunes en difficulté, c’est compliqué. On donne, on s’use, on donne beaucoup d’engagement pour pouvoir sauver les petits jeunes ou même les personnes en difficulté.
Finalement, on s’use et on se retrouve nous-mêmes en difficulté. C’est ce que j’ai vécu avant que je ne rentre à l’École 5.3, j’étais en grande difficulté.
Mon idée aujourd’hui, c’est de pouvoir formaliser mon management avec le diplôme de management.
J’aimerais vraiment accompagner des managers, des coachs qui sont en entreprise, des responsables d’entreprises, qui sont en grande difficulté parce qu’il faut tout donner pour pouvoir réussir ces missions.
On parle d’usure professionnelle et d’usure psychique. Cela mène à prendre du poids, parce qu’il y a une mauvaise nutrition, parce qu’on n’a pas le temps de faire à manger, pas le temps de s’occuper de soi, pas le temps de faire un peu de sport et du coup, ils sont dans une spirale infernale. Ils sont en très mauvaise santé ou en tout cas un état psychique très mauvais à la limite des burn-outs.
Je n’ai pas fait un burn-out, mais je n’étais pas loin. Aujourd’hui, j’ai acquis une certaine expérience avec toutes ces petites formations que j’ai faites avec vous, l’École 5.3 sur la nutrition et sur la gestion du stress et des émotions.
J’espère formaliser avec mon diplôme à l’IRTS sur le management et après, je vais me lancer de nouveau sur l’accompagnement des managers ».
Quel est le prochain objectif ?
« Ce qui est super, c’est que dans mon projet et vous me connaissez, je suis une personne engagée avec des objectifs. Et quand j’ai des objectifs, je suis à fond dedans et donc je me suis rapproché de l’École 5.3 il y a une semaine ou quinze jours, à peu près pour pouvoir recommencer avec ce nouveau projet !
Je ne sais pas si c’est la bonne idée, mais en tout cas, je vous ai rappelé pour avoir de nouveau un soutien, une guidance parce que j’avais tout organisé sur ma microentreprise, sur les personnes de l’association ou sur les personnes qui avaient besoin de perdre du poids.
C’est un nouveau projet, c’est des nouvelles personnes à cibler. Je pense que c’est toute une reconstruction. L’idée, c’est vraiment de reconstruire toutes les étapes une par une, tout en finissant ma formation et que j’obtienne mon diplôme pour pouvoir accompagner derrière ».
Quel conseil donnerais-tu aux personnes qui souhaitent se lancer comme toi ?
« Alors les doutes, c’est légitime. Maintenant l’École 5.3, c’est pour moi une assurance, vraiment, il faut avoir confiance. Une fois que vous avez démarré avec l’École 5.3 et que vous avez démarré sur votre projet, il faut vraiment à un moment donné vous lancer et avoir confiance. Tout est possible à partir du moment où vous êtes bien suivi avec l’École 5.3 sur les projets. Bien suivre étape par étape. Après, vos objectifs et votre passion vous aideront à aboutir largement.
Moi, je valide à 10 000 % l’École 5.3. Vous avez une capacité à nous faire avancer et à nous faire évoluer. Maintenant, c’est tout un chacun, d’y investir les bons ingrédients : la volonté, l’engagement et la passion.
Moi, j’étais prêt à arrêter mon poste principal de chef de service dans le médico-social, j’étais prêt à me lancer et j’étais prêt à partir. Désormais, j’ai une nouvelle formation à passer et cette nouvelle formation me donne un nouveau cap, de nouveaux objectifs ! ».
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