Bienvenue dans la découverte de cette nouvelle séquence WAOUW. Lors de ces séquences, nos élèves partagent leurs petites et grandes victoires dans leur parcours vers leur nouvelle vie d’entrepreneur du bien-être. Dans cet opus, nous découvrons l’histoire de Charlotte, certifiée des formations 5.3 Nutrition, Gestion du Stress & Préparation Mentale, et Entrepreneur.
Pourquoi es-tu passionnée par l’univers du bien-être ?
Charlotte Truffaut : « Je suis très sportive. J’ai fait beaucoup de tennis en compétition, donc évidemment, l’alimentation, elle est importante quand on fait du sport. Je suis prof d’EPS, je vois aussi mes élèves en surpoids qui ont des difficultés. À côté de ça, j’ai aussi une fille handicapée qui a une trisomie 21 et qui a des intolérances ».
Tout ça a fait que je me suis beaucoup intéressée à la nutrition. J’ai moi-même un syndrome qui me cause des douleurs digestives. L’univers du bien-être, c’est quelque chose qui était quand même assez présent dans mon quotidien, que ça soit pour le sport, pour ma fille, ou pour moi. C’est pour ça que j’ai eu envie de me former pour pouvoir aussi apporter ça aux autres personnes ».
Comment as-tu commencé ton activité ? Quel a été le déclic ?
« Ces éléments m’ont conduit à ce déclic. Cela fait un petit moment que je voulais me diriger vers le bien-être. Je ne savais pas trop comment m’y prendre et je suis tombée sur l’École 5.3. La façon de faire avec les ateliers et l’accompagnement, ça m’a tout de suite plu et j’ai vraiment accroché avec ce côté humain.
Avec les visios, on peut s’organiser comme on veut. C’est vraiment un plus. Ça a été pour moi le déclic pour m’inscrire à cette formation. Puis, une fois qu’on est pris dans l’école, on n’a pas envie de s’arrêter ».
Comment as-tu fait pour recruter tes premiers clients ? Travailles-tu avec des bêta-testeurs ?
« Oui, pendant ma formation en nutrition, j’ai eu des bêta-testeurs à partir du module 3. C’étaient des collègues à moi. Je leur avais dit au départ qu’ils seraient mes bêta-testeurs pour une durée de trois mois, et à la fin de ces trois mois, si jamais ils souhaitaient continuer avec moi, pas de soucis, on fera au cas par cas ».
On est parti sur ça. J’avais trois bêta-testeurs, un homme et deux femmes pour des choses différentes d’ailleurs. C’était très intéressant parce que j’avais une perte de poids, une prise de poids et un homme qui voulait aussi perdre un peu de poids.
C’est vraiment des profils très différents et c’était très intéressant d’avoir ces trois profils distincts ».
Pensais-tu que c’était possible ?
« Au début, il y a toujours cette question de légitimité qui est là, on se dit : Est-ce qu’on va vraiment leur apporter quelque chose ? Est-ce que ça va marcher ?
C’est vrai que d’avoir ces bêta-testeurs, c’est fondamental dans sa formation, parce qu’on prend davantage confiance en soi.
Et d’ailleurs, deux de mes premiers clients ont été mes bêta-testeurs.
C’est-à-dire qu’au bout des trois mois, je leur ai dit que c’était fini en tant que bêta-testeurs. Par contre, si vous voulez continuer l’accompagnement et que moi, j’ai estimé qu’effectivement, c’était bénéfique de continuer, et bien, on passe en client, et c’est ce qui s’est passé ! Deux des trois bêta-testeurs sont devenus mes premiers clients ».
Quels conseils peux-tu donner aux élèves qui souhaitent se lancer ?
« Alors, déjà croire en soi parce que si on ne croit pas en soi, on ne passe pas à l’action et il n’y a qu’en passant à l’action qu’on peut y arriver. C’est vraiment croire en soi et c’est un vrai problème lié à la légitimité, mais c’est vraiment important parce que ça nous fait faire les choses et de toute façon, on ne risque rien, ça, c’est la première chose.
La deuxième chose, je dirais, c’est suivre le parcours entrepreneur qui m’a beaucoup, beaucoup, beaucoup aidé dans mon cheminement, j’ai appris énormément de choses et c’est ça qui m’a permis de me lancer. Il y a énormément de travail derrière, mais on est accompagné.
La troisième chose, je dirais et c’est aussi très important. C’est que l’on a créé un groupe de trois entrepreneurs avec deux autres personnes de l’École, et ça permet de nous booster énormément quand on a des doutes et des idées, et c’est super important ».
Peux-tu vivre de ta passion ?
« Pour l’instant, je n’en vis pas, mais je l’espère et je pense que oui. Je pense qu’avec beaucoup de travail, c’est possible ! ».
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