Julie Gojard OFF

En 3 mois, Julie développe (déjà) son activité dans le bien-être

Bienvenue dans la découverte de cette nouvelle séquence WAOUW. Lors de ces séquences, nos élèves partagent leurs petites et grandes victoires dans leur parcours vers leur nouvelle vie d’entrepreneur du bien-être. Dans cet opus, nous découvrons l’histoire de Julie, certifiée des formations 5.3 Nutrition, Gestion du Stress et Préparation Mentale et Entrepreneur.

Pourquoi es-tu passionnée par la Pleine Santé ?

Julie Gojard : « Tout a commencé par des problèmes de santé personnelle, j’avais une très mauvaise alimentation et un mauvais équilibre de vie. J’ai eu des gros problèmes de santé qui ont fait que j’ai dû changer finalement mon mode de vie. Entre-temps, j’ai eu deux enfants qui m’ont amené à faire plus attention à ce que je faisais à manger. J’ai commencé à me renseigner sur la nutrition, sur le bien-être, sur l’équilibre mental et l’hygiène de vie.

Avant, j’étais conseillère bancaire pendant quinze ans. Je suis contente d’avoir pu être bien accompagnée puisque c’est vrai que ce n’est pas simple de faire une reconversion et ce n’est pas simple de se lancer. Je pense avoir fait le bon choix ».

En 3 mois, Julie développe (déjà) son activité dans le bien-être.

Qu’est-ce qui t’anime au quotidien ?

« Ce qui m’anime, c’est d’accompagner les personnes dans leurs objectifs de Pleine Santé. J’ai beaucoup souffert en fait du manque d’accompagnement, et donc quand j’ai commencé à regarder, ce qui m’intéressait vraiment, c’était d’accompagner la personne, aussi bien sur la nutrition que sur la gestion du stress et des émotions. Dans l’accompagnement, c’est important de connaître la personne et que la personne puisse nous faire confiance ».

Comment as-tu commencé ton activité ?

« Je fais des cours de pilates dans un centre de remise en forme et j’ai fait pendant trois mois la formation nutrition en parallèle. À l’issue de ma certification, ma professeure de pilates m’a proposé de rejoindre le centre de remise en forme.

J’ai donc un bureau qui est adossé au centre de remise en forme, moyennant un loyer raisonnable puisqu’on a négocié ma présence sur trois jours par semaine sur place. Cela me permet d’avoir une journée aussi à la maison pour pouvoir travailler sur les réseaux et sur les recettes, car j’écris un e-book de recettes pour mes coachés.

Finalement, ça allait assez vite. Je ne pensais commencer qu’à la rentrée et l’opportunité s’est présentée. Je me suis dit que cela n’allait pas se présenter deux fois. J’ai donc pris au vol l’opportunité et donc, j’ai dû finalement créer notre entreprise rapidement, ainsi que les noms de domaine et réseaux sociaux parce que je voulais donner aussi un nom à l’auto-entreprise et pas juste mon prénom et mon nom.

Il a donc fallu aller très vite pour également faire les cartes de visite. Tout ça n’était pas du tout prévu initialement, mais j’ai pris le cheval au galop et puis c’est parti.

C’est un métier qui m’anime et qui me passionne, contrairement à la banque où j’avais des fois un peu honte de dire que je travaillais dans la banque. Aujourd’hui, j’explique ce que je fais, ce que je pratique, comment je le fais et comment j’accompagne. Je pense que le fait d’être plutôt confiante sur mon offre, ou en tout cas sur mes accompagnements, montre aussi que l’on peut me faire confiance ».

Combien as-tu de clients aujourd’hui ?

« Aujourd’hui, j’accompagne huit clients que j’ai eus grâce à du bouche-à-oreille des mamans de l’école. J’accompagne aussi dans le cas d’une famille, c’est-à-dire que j’ai une maman qui m’a contactée avec trois enfants, elle n’arrive pas à s’organiser sur les repas et à cuisiner sainement. Elle ne connaissait pas l’équilibre alimentaire, je lui ai donc expliqué ce que c’était en indiquant comment je l’utilisais dans mes accompagnements.

De même, j’ai proposé mes prestations à un grand groupe en m’adressant directement au directeur d’agence. Il m’a proposé d’intervenir également au sein de l’agence auprès de ses collaborateurs, sur la gestion du stress.

En fait, en parlant juste de ce que je faisais, le contact est bien passé et on a continué à en discuter. J’interviens à la rentrée auprès de ses équipes pour parler de la gestion du stress. J’ai fait un guide pour pouvoir leur donner et j’ai fait des tests et des questionnaires pour que cela reste justement quelque chose de pratique.

Je leur donne aussi le mouvement du Delta-Tech, et je leur montre un peu tout ça. Il faut continuer à parler de ce que l’on fait puisque les huit clients que j’ai aujourd’hui vont peut-être me donner huit autres clients plus tard, donc je continue ».

Quel conseil donnerais-tu à nos élèves qui souhaitent se lancer ?

« D’avoir confiance en soi. Pour moi, je trouve que c’est ce qui est le plus important, surtout dans l’entrepreneuriat. Quand on se lance, il ne faut pas avoir honte de ce que l’on fait. Le tout, c’est d’avoir confiance en soi et de se dire ok, je l’ai fait.

Maintenant, la chose suivante, c’est d’y aller. Je pense qu’il n’y a pas à avoir honte. Il faut juste se dire, je pousse une porte. Cette porte-là, elle va forcément amener à quelque chose de positif.

Il faut juste avoir confiance en soi et s’entourer des bonnes personnes également, qui vont nous amener du positif afin de ne pas écouter que les choses négatives. De même, il est important de se recentrer sur nos capacités et de ne pas douter des capacités que l’on peut avoir. On fait des formations et c’est justement pour ça que l’on peut avoir confiance en soi ».

Te sens-tu totalement légitime maintenant ?

« C’est vrai qu’on a toujours des doutes, mais, en même temps, c’est ce qui fait aussi qu’on avance. On aura toujours un petit peu ce côté de nous qui doute je pense, mais, en tout cas, je n’ai pas honte aujourd’hui de faire ce métier, de parler de ce que je fais et de voir que je suis là aujourd’hui. C’est parce que je suis fière de moi. Il faut juste avancer. Si on a peur de la légitimité, il faut continuer à se former et à se renseigner ».

Est-il possible de vivre de sa passion ?

« Oui, moi j’y crois. Après, je pense qu’il faut savoir aussi développer son activité. Moi, je me suis concentré vraiment sur les accompagnements puisque c’était arrivé très vite. Il a fallu que je me concentre là-dessus. L’idée, après, ça sera peut-être de proposer d’autres types de services finalement payants.

Pour le moment, j’arrive à payer un loyer et des charges. Je me dis qu’on peut bien en vivre une fois que l’on aura plus de clients. Je n’en doute pas. Pour moi, c’est possible ».

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