Stéphanie Martin-Lecou

Stéphanie s’épanouit en travaillant en équipe pluridisciplinaire

Bienvenue dans la découverte de cette nouvelle séquence WAOUW. Lors de ces séquences, nos élèves partagent leurs petites et grandes victoires dans leur parcours vers leur nouvelle vie d’entrepreneur du bien-être. Dans cet opus, nous découvrons l’histoire de Stéphanie, certifiée des formations 5.3 Nutrition, Gestion du Stress et Préparation Mentale, et Entrepreneur.

Pourquoi es-tu passionnée par la Pleine Santé ?

Stéphanie Martin-Lecou : « Cela a commencé quand j’étais enfant. Suite à un choc émotionnel, j’ai commencé à avoir beaucoup de tics, donc j’étais énormément stressée. Après, les événements de la vie se sont enchaînés. J’ai pris mon premier appartement, j’ai eu des enfants, j’ai pris des kilos, et j’étais stressé. J’ai fini par me retrouver en obésité sévère, j’étais remplie de tics. Je me suis rendu compte assez tard que le problème ne venait pas que de l’assiette, mais qu’il venait principalement des émotions ».

Quel a été le cheminement pour que tu te lances à accompagner à ton tour ?

 « J’ai cherché quelque chose pour me soigner moi en réalité. J’ai longtemps entendu qu’un médicament, qu’une pilule magique existait, en fait non, ça n’existe pas, surtout qu’on se rend compte que ça vient principalement du côté psychologique.

J’ai vu plusieurs professionnels de santé et ça ne m’a pas aidée à la hauteur de mes attentes. J’ai donc commencé à chercher de mon côté quelque chose pour me former et m’aider moi d’abord.

Je me suis dit si ça marche, qui mieux qu’une personne qui a mon expérience pour pouvoir aider les autres, et c’est ce que j’ai fait.

Du coup, j’ai trouvé la formation de l’École 5.3. Ce qui m’a beaucoup parlé, c’est que la nutrition m’intéressait, mais j’avais besoin d’autre chose.

Quand j’ai vu que vous proposiez aussi une formation en gestion des stress et des émotions, je me suis dit, c’est forcément pour moi.

Je me suis dit, je me teste d’abord et ça a bien fonctionné parce qu’aujourd’hui, par exemple, je n’aurai pas pu aligner toutes les phrases que je dis depuis le début de ce témoignage sans avoir des tics.

La pilule magique, je répète, ça n’existe pas. C’est beaucoup de travail sur soi, clairement, et c’est ça qu’il faut faire comprendre aussi à nos clients. C’est qu’on est là pour les aider et leur donner les cartes, mais c’est à eux de jouer après ».

Comment as-tu commencé ton activité professionnelle ?

« J’ai commencé au 1er janvier 2023. C’était une date symbolique pour moi. C’était pour tourner la page de 2022, qui n’a pas été pire que les autres années, mais je voulais commencer une nouvelle année 2023 sur les chapeaux de roues en me mettant vraiment à mon compte.

J’ai fait ma formation de septembre à décembre et j’avais déjà en nutrition deux bêta-testeurs, un homme et une femme. Ça m’a permis de voir aussi quel type de profil je préfère accompagner.

Ensuite, quand j’ai lancé mon activité, j’ai commencé à avoir de la clientèle payante. Jusqu’à présent, j’ai eu sept clients que j’ai accompagnés. Je fais des accompagnements de 3 mois voire de 6 mois. En juillet 2023, j’en ai plusieurs qui ont fini leur accompagnement et j’en ai trois qui ont renouvelé parce que même si elles ont les cartes en main et qu’elles savent comment faire maintenant, elles ont besoin quand même d’une piqûre de rappel et du soutien. Je dis toujours que je suis la main dans le dos qui les aide à avancer. C’est elles qui marchent, mais moi, je les aide à monter la pente ».

Quels sont les besoins de tes clients ?

« La plupart des personnes qui viennent me voir, elles viennent souvent pour une perte de poids. C’est là que je leur explique les 5 facteurs du vivant. On se base sur ça.

Il faut savoir qu’au début de mon activité, j’avais du mal à placer les 5 facteurs du vivant, même si je les avais compris. C’est au fur et à mesure de l’accompagnement de mes bêta-testeurs et des premiers clients aussi qui sont arrivés que j’ai mis tout ça en place.

Ils viennent souvent me voir parce qu’ils ont des kilos à perdre et c’est là que je leur explique qu’en fait les kilos oui, mais il n’y a pas que l’assiette santé à voir parce que souvent ils ne mangent pas que des kebabs et des McDo, ils ont une assiette assez correcte, c’est juste que parfois il y a des choses à recadrer dedans, car il y a un blocage.

C’est aussi ce qui m’est arrivé. Encore une fois, qui de mieux que moi-même pour dire à mes clients comment les accompagner, puisque j’en suis l’exemple. On attire les mêmes personnes que nous finalement.

Je travaille sur la nutrition avec le plan nutritionnel. Si ces personnes ont des pathologies, je travaille en équipe pluridisciplinaire avec mon médecin généraliste notamment. J’ai une cliente qui a des pathologies, elle n’a absolument pas voulu que je contacte ces professionnels. Je suis donc restée plus restreinte dans mon accompagnement, mais j’étais transparente. Elle sait que j’ai mes compétences et elle sait aussi que j’ai mes limites ».

Quels sont les prochains axes de développement de ton activité ?

« Pour le moment, ce que j’ai mis en place, c’est des partenariats avec mon ostéopathe, avec mon médecin généraliste, avec un coach sportif et puis une psychologue, donc je m’entoure vraiment de différents secteurs d’activités médicaux, paramédicaux ou du bien-être.

J’ai aussi créé mon site Internet, j’ai créé des supports pour montrer aux gens comment je fonctionne, et ce que je peux apporter. Je dis toujours que le feeling est hyper important.

C’est pour ça, d’ailleurs, que l’École nous a aidé dans cette direction à proposer le fameux appel découverte parce que je trouve ça trop important pour nous, pour les clients, et pour les prospects, parce qu’on ne peut pas travailler avec quelqu’un qu’on ne sent pas. Ce n’est pas possible. C’est trop humain, notre métier.

Il faut être clair lorsque quelqu’un vient me voir en disant « je vais perdre 15 kilos en un mois », ça ne va pas être possible parce que moi, je ne fonctionne pas comme ça. Il faut être transparent.

J’ai aussi intégré un groupe de 3 il y a quelques mois avec deux personnes exceptionnelles, mais c’est normal, comme je disais tout à l’heure, on attire les gens qui nous ressemblent. Ces groupes de 3 sont très importants, surtout au niveau de la légitimité, parce qu’il y a des périodes où le doute est présent, mais je pense qu’il est présent dans n’importe quel métier finalement, surtout chez les personnes qui se lancent dans l’entrepreneuriat.

C’est important de s’entourer de personnes positives qui nous tirent vers le haut, qui nous poussent, qui nous consolent aussi des fois quand on a un coup de mou et qui nous conseille aussi sur des choses que l’on n’aurait pas faites.

Localement, je souhaite me déplacer chez les différents commerces pour me présenter, pour déposer mes flyers, sans oublier le développement du bouche-à-oreille de mes clients ».

Comment se passe le développement de ton activité avec les médecins ?

« On a toujours le doute lorsque l’on va se présenter, qu’est-ce que je vais dire, on pense que c’est hyper fluide et que les mots viennent tout seuls, mais il faut se préparer.

J’ai commencé par mon médecin généraliste. J’avais rendez-vous avec elle, je lui ai dit si elle avait deux petites minutes de plus à m’accorder.

Je lui avais parlé déjà avant de faire la formation, elle m’a dit « reviens me voir quand tu as fini », donc ça, c’est super, elle était ouverte sur ce sujet-là.

Bon, elle m’avait oublié entre-temps. Ce n’est pas grave, c’est normal. Je lui ai reparlé de ce que j’avais fait. Elle m’a dit « oui, c’est vrai que c’est super intéressant ». En réalité, on a parlé beaucoup plus que cinq minutes. Désolée pour les autres personnes qui attendaient, mais elle était très ouverte et elle voulait savoir exactement en quoi ça consistait.

Elle m’a dit « je veux bien des cartes de visite ou des flyers parce qu’effectivement moi, dans mon tiroir, je n’ai que celle de diététiciennes, parce que pour moi, quand il y a ces soucis-là, moi, je ne gère pas ». Je lui ai bien expliqué le discours que je tiens, que l’on est là pour être complémentaires au métier de diététicien.

Ils n’ont absolument pas le temps et n’ont peut-être pas l’envie, d’ailleurs, ce n’est pas leur boulot premier d’accompagner ces personnes. En tant que Conseiller Pleine Santé, on propose vraiment un accompagnement de proximité.

Lorsque l’on a parlé des diététiciennes, j’ai tout de suite rebondi dessus en disant qu’on n’est absolument pas là pour les remplacer et encore moins d’ailleurs pour leur casser du sucre sur le dos, on est vraiment complémentaire ».

Quels conseils donnerais-tu aux personnes qui souhaitent se lancer comme toi ?

« Moi, ça serait, allez-y, n’ayez pas peur. N’ayez pas peur d’afficher vos objectifs et vos motivations.

Allez-y, de toute façon, au pire, vous prenez un « non » et c’est pas grave, vous allez voir ailleurs, vous faites autrement, et au mieux, ça marche !

Entourez-vous, comme je disais tout à l’heure, de personnes positives qui sont sur la même longueur d’onde que vous, ce qui ne veut pas dire qu’elles ont les mêmes compétences ou qui sont complémentaires, mais qui vous tirent vers le haut.

Lancez-vous et suivez tous vos blocs, vos ateliers et regardez tous les replays. C’est vrai que ça prend du temps, mais moi j’ai participé à tous les ateliers et c’est vraiment hyper important.

Même si l’on ne pose pas de questions, le fait d’écouter les réponses, c’est déjà enrichissant ».

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