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Angélique Magnier

Angélique est sortie de sa zone de confort pour vivre de sa passion

Bienvenue dans la découverte de cette nouvelle séquence WAOUW. Lors de ces séquences, nos élèves partagent leurs petites et grandes victoires dans leur parcours vers leur nouvelle vie d’entrepreneur du bien-être. Dans cet opus, nous découvrons l’histoire d’Angélique, certifiée des formations 5.3 Nutrition, et Gestion du stress.

Pourquoi es-tu passionnée par le bien-être ?

Angélique Magnier : « Je suis passionnée par l’univers du bien-être. J’ai toujours été passionnée avant tout par la cuisine. Et puis, les années passant, je me suis davantage documenté sur l’impact de l’alimentation sur la santé physique, mais aussi la santé mentale. J’ai lu beaucoup de bouquins et puis petit à petit, je ne trouvais plus d’intérêt dans ce que je faisais auparavant.

J’ai fait un bilan de compétences pour voir comment je pouvais me réorienter, j’ai contacté l’École, et puis, de fil en aiguille, je me suis lancé. J’ai suivi la formation nutrition dans un premier temps, et puis six mois après, celle sur la gestion du stress ».

Quel a été le déclic pour toi ?

« Je ne me sentais plus vraiment à ma place. Durant le confinement, on se pose les bonnes questions. Est-ce que je suis encore à ma place ? Est-ce que j’ai encore envie de faire ce que je fais dans 10 ans ? C’est toute une réflexion ».

Est-ce que cela a été difficile pour toi de recruter tes premiers clients ? Comment cela s’est passé ?

« Alors mes premiers clients, ça a été relativement simple. C’était relativement simple parce que c’étaient des gens de mon entourage alors que je ne les connaissais pas forcément très bien. J’ai une voisine et des gens de mon village.

Le fait d’en parler autour de moi a fait que les gens ont su que je me lançais. J’ai officiellement créé ma société en mi-décembre et j’ai commencé mon premier accompagnement début janvier, les premiers clients sont venus assez rapidement ».

Combien de clients as-tu accompagné au bout d’un an d’activité ?

« En un an, j’ai accompagné 25 personnes. Actuellement, j’en ai dix et j’en ai deux qui vont bientôt démarrer.

Au bout d’un an, on s’en sent plus à l’aise. Les clients sont plus à l’aise, et ça devient de plus en plus fluide, même s’il n’y a pas un accompagnement qui se ressemble ».

Te sentais-tu légitime pour exercer ?

« Bizarrement, quand j’ai fait la formation, je ne me suis pas posé la question. Je me suis jamais posé cette question de légitimité à partir du moment où j’ai monté mon entreprise. Cependant, au fur et à mesure, le syndrome de l’imposteur a fait son apparition très rapidement.

Aujourd’hui, j’ai nettement moins ce syndrome, parce que maintenant, j’ai du recul et j’ai des bons retours. J’ai des résultats des personnes que j’ai accompagnées. 

C’est surtout d’avoir des retours et des recommandations. Quand j’ai des nouveaux clients qui viennent nous voir sur recommandation d’un tel, ça renforce ma légitimité. Parmi ces 20-25 personnes, maintenant, que j’ai accompagné, il y a quand même deux médecins ».

Pensais-tu que te lancer dans l’entrepreneuriat serait difficile ?

« Je savais que ça serait difficile. Quand on se lance dans une activité, c’est sûr que ce n’est pas facile. Il faut se faire connaître, et puis il ne faut pas oublier que lorsqu’on est entrepreneur, on est à la fois comptable, à la communication, on fait plein de choses ».

J’ai peut-être sous-estimé le temps consacré à la partie communication, et à cette partie commerciale. La prospection, je ne l’avais peut-être pas assez anticipé.

Il ne faut pas hésiter à en parler autour de soi. Plus on en parle, plus on se fait connaître, tout simplement ».

Quel serait le conseil que tu donnerais aux élèves de l’École qui souhaitent se lancer ?

« Il faut se donner à fond et y croire surtout, et puis après, il faut être très curieux. Encore maintenant, je me forme en Corse, j’assiste à des webinaires, des conférences. Être curieux, c’est vraiment élargir un maximum ses compétences ».

Est-ce qu’il est possible de vivre de sa passion ?

« Je vais vous dire que oui, parce que sinon je n’en serais pas là. Je suis honnête actuellement, je ne peux pas encore en vivre au bout d’un an, mais je suis sur la bonne voie, et puis je me suis laissé trois ans. Les accompagnements individuels se font de plus en plus via le bouche-à-oreille donc cela se développe ».

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