Annie-Camus-Pottier

Annie nous raconte son déclic pour l’univers de la Pleine-Santé

Bienvenue dans la découverte de cette nouvelle séquence WAOUW. Lors de ces séquences, nos élèves partagent leurs petites et grandes victoires dans leur parcours vers leur nouvelle vie d’entrepreneur du bien-être. Dans cet opus, nous découvrons l’histoire d’Annie, certifiée des formations 5.3 Nutrition, Gestion du Stress et Préparation Mentale, Phytothérapie et Entrepreneur.

Pourquoi es-tu passionnée par la Pleine Santé ?

Annie Camus-Pottier : « Travaillant auprès des agriculteurs, c’est le bien-être à la fois des humains et des animaux. À la base, je dirais que c’est ma maladie et la maladie de mon entourage qui m’ont fait poser beaucoup de questions sur la notion de bien-être, car je suis intolérante au gluten et asthmatique. Et le côté accompagnement en plus de la médecine traditionnelle. Ce qui m’a amenée à réfléchir à tout ça, c’est le côté en complément d’eux pour le bien-être, autant pour la digestion du stress que la nutrition, que la phytothérapie. »

Annie nous raconte son déclic pour l’univers de la Pleine-Santé

Quel a été le déclic pour démarrer ton activité ?

« Le déclic pour démarrer, a été la formation nutrition est le fait que je travaillais auprès des agriculteurs, des animaux, sur l’équilibrage alimentaire des animaux d’élevage. Il faut savoir que les animaux d’élevage ont beaucoup d’analyse, le lait que vous mangez dans vos yaourts et analysé très régulièrement. On mesure entre autres les globules blancs dans le lait, car cela varie énormément et c’est quelque chose qui est pris en compte de manière très importante par les agriculteurs, c’est ce qui définit le prix auquel le lait va être payé. Il s’avère que ces globules blancs dans le lait varient énormément en fonction de l’alimentation et de l’équilibre alimentaire des animaux. Ils développent des problèmes en tout genre, en fonction de leur équilibre alimentaire. Et ça m’a posé de plus en plus de questions, un autre point qui n’est pas anodin, des cochons qui ne boivent pas assez vont devenir cannibales. Entre toutes les maladies qu’ils peuvent développer et tous les comportements qu’ils peuvent développer, je me suis posé pleins de questions afin de me dire qu’il y a peut-être un terrain à exploiter sur l’équilibre de notre alimentation. Quand j’ai vu dans la formation le côté équilibre acido-basique, je me suis dit, que je devais me lancer. J’ai alors commencé la formation nutrition, j’ai vraiment aimé toutes les informations que ça m’a apporté, le sérieux que je sentais derrière et aussi les effets que j’ai pu avoir. Le but c’était que j’aille bien que ma famille aille bien, j’ai alors vu des effets flagrants et je les ai vus sur toute tranche d’âge. Suite à cela j’ai eu envie de faire les autres formations. Devant le sérieux et les effets, je me suis dit je continue ».

Combien de clients accompagnes-tu à ce jour ?

« J’ai me suis lancé au mois de mai et là j’accompagne 12 fermes à l’année. Si je peux juste rajouter une phrase, une phrase que le Dr. Rougier a dit plusieurs fois dans la formation et que j’ai pu tester. Il dit que manger bio ce n’est pas tout, c’est l’équilibre. Et nous, on mangeait tout bio et on faisait tout nous-mêmes de A à Z. On ne faisait pas nos pâtes tout le temps nous-mêmes, mais on les fait parfois. On faisait tout, mais en appliquant les conseils d’équilibre, ça a changé, mais énormément de choses. C’était un petit truc en plus vraiment conquis sur la formation. La différence, c’est qu’avant j’accompagnais les agriculteurs pour leurs animaux ponctuellement, en général ils me rappelaient deux fois l’année et là je suis partie sur des accompagnements à l’année qui comprend à la fois le bien-être des animaux et des personnes ».

Suite à cela, as-tu de nouveaux objectifs ?

« Je vais faire la Masterclass Sport et Nutrition et je vais continuer à me former pour obtenir plus d’informations. J’ai l’impression d’avoir des petites pépites qui viennent à chaque fois, et je ne veux pas en rater, car j’en suis sûre que ça peut servir. Je me suis inscrite ce matin à la formation, quand j’ai vu les points abordés dans la Masterclass, je me suis dit que c’est sûr que ça peut servir autrement, pas que dans le sport et nutrition il y a des choses à prendre. Je continue et puis je vais avoir aussi la formation en entier pour finir le cinquième bloc ».

Pourrais-tu dire que tu te sens légitime à accompagner ?

« Ah oui, complètement. J’ai eu des retours et ils sont super. Je me suis lancée dans l’accompagnement à l’année des agriculteurs parce que j’ai senti ce besoin pour eux aussi. J’allais dire avant, ils pouvaient me l’exprimer maintenant, j’ai les outils pour les aider. C’est pour ça que j’ai proposé de les aider eux, en plus des animaux. Et comme ils avaient confiance en moi, cela a directement fonctionné. Mais c’est parce que je savais que j’avais les outils pour les aider, j’ai eu plein de retours positif sur l’amélioration de leur santé ».

Quels conseils donnerais-tu à ceux qui souhaitent se lancer ?

« Les deux, mais il n’y a pas d’ordre de préférence. Le parcours entrepreneur m’a boosté, ça m’a fait décoller. À chaque fois, je ressortais de chaque rendez-vous et j’ai décollé en peu plus. Je me suis lancée il y a quelques mois, maintenant, je suis déjà à 12 personnes, c’est vraiment grâce à ça, c’est là où j’ai tout eu. C’est comme un truc qui me lance en avant à chaque fois. Les formations, je les ai vraiment trouvées complémentaires. J’ai l’impression de faire de la pub, mais je n’ai pas été payée pour, c’est mon ressenti, j’ai vraiment trouvé un côté complémentaire. Même s’il y a des choses qu’on revoit, au contraire, ça fait du bien de revoir et d’approfondir, par exemple les 5 facteurs du vivant, je me suis rendu compte que je les ai vraiment mieux ressentis, mieux compris, mieux globalisés, qu’après avoir fait les 3 formations, à force d’en entendre parler et de les voir sous différents angles ».

Est-il possible aujourd’hui de vivre de sa passion ?

 « J’avais l’avantage d’avoir une clientèle qui me connaissait déjà et donc ça a démarré vite. Après, que ce soit possible, oui je pense qu’il y a réellement une attente des gens. Cependant, cela demande du temps. J’ai eu cette chance d’avoir déjà une clientèle prête qui me connaissait et qui était prête à me suivre sur un autre projet dont ils avaient besoin. Oui je pense, mais il ne faut pas se lancer dans le vide, il faut avoir du temps ».

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