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Catherine-Guif

Bien-Être et Sérénité : la métamorphose inspirante de Catherine, infirmière engagée

Bienvenue dans la découverte de cette nouvelle séquence WAOUW. Lors de ces séquences, nos élèves partagent leurs petites et grandes victoires dans leur parcours vers leur nouvelle vie d’entrepreneur du bien-être. Dans cet opus, nous découvrons l’histoire de notre infirmière Catherine Guif, certifiée des formations 5.3 Nutrition et Entrepreneur.

Pourquoi tu es passionnée par l’univers du bien-être et par la pleine santé ?

Catherine Guif « Je suis passionnée du bien-être parce que je suis infirmière déjà depuis plus de 30 ans, donc je suis un petit peu tombée dedans quand j’étais petite. Je n’étais pas spécialement attirée par la nutrition, je l’étais de manière normale dans mon domaine professionnel, Et en fait, c’est suite à un burn-out que vraiment, j’ai décidé de me prendre en main et d’aller un petit peu plus loin dans mes connaissances en nutrition. Et ça était un déclic de me rendre compte à quel point l’état psychique était vraiment lié aussi à ce qu’on mangeait. Je le savais un petit peu, mais peut-être que je n’en avais pas encore pris conscience de cette manière-là. Donc, c’est ce qui m’a amenée à joindre l’École et voilà, qui a été une très belle découverte ».

Bien-Être et Sérénité : la métamorphose inspirante de Catherine, infirmière engagée

Depuis que tu as rejoint l’école 5.3, comment tu es devenue entrepreneur ?

« Ce fut une année assez riche en rebondissements. Il faut savoir que je m’étais déjà réorientée depuis une petite dizaine d’années. J’avais un cabinet et j’accompagnais les personnes en thérapie brève, en hypnose, et j’étais aussi formée à la prise en charge des psychotraumatismes. C’est vrai que c’est quelque chose qui me passionne beaucoup, mais en faisant un burn-out, j’ai cru que ce n’était plus ma place. Alors, en me certifiant en nutrition, je me suis certifiée en avril, je me suis dit que je vais accompagner les gens uniquement en nutrition et en fait, le naturel revient au galop. C’est surtout que j’ai fait un lien très fort entre les deux. Et en faisant ce lien, je me suis dit il y a vraiment quelque chose à faire dans le fait de débloquer les traumatismes et en même temps de pouvoir accompagner sur les équilibres nutritionnels pour pouvoir vraiment faire ce lien entre tous ces micronutriments, tout l’impact qu’ils ont sur notre santé psychique et y joindre tous les outils que j’avais, bien sûr dans ce qui est thérapie, mais aussi gestion du stress et des émotions. Donc j’ai ouvert mon entreprise au mois de juillet, et je suis allée encore plus loin, je me suis dit, mais pourquoi pas faire encore quelque chose de différent et j’ai créé une forme de formation destinée aux particuliers comme une méthode dans laquelle je reprends les grands piliers qui sont l’équilibre alimentaire, la gestion du stress, la gestion des émotions, mais aussi l’acceptation de soi, parce qu’à un moment donné le corps ne m’incite plus pour diverses raisons, métaboliques, génétiques, et qu’il est temps de s’accepter. Il est aussi temps de prendre soin de sa santé, mais de s’accepter. Et cette méthode, je la propose à mes clientes avec cette formation dans laquelle elles ont accès, en vidéo, avec un drivebook. C’est quelque chose que j’ai créé, que je me suis inspirée aussi par rapport à tous mes apprentissages. Et j’accompagne aussi en individuel et je fais aussi des lives de groupe comme là, maintenant. Voilà, et c’est très riche, très enrichissant et c’est chouette. On partage des bons moments ».

Quels sont les objectifs que tu t’étais fixés ? Combien de clients as-tu ?

« J’ai ouvert mon entreprise en mai-juillet, mais j’étais beaucoup dans la préparation, la création de contenu et j’ai tout fait toute seule, la création de ma formation. Il y a presque 30 vidéos, C’est un drive de 100 pages. Enfin, tout ça, je l’ai créé. J’ai fait beaucoup de contenu, on va dire, juillet-août, en sachant qu’août, pour recruter des clientes, ce n’est quand même pas le meilleur moment. J’ai démarré début septembre, désormais j’ai sept clientes à peu près en un mois et demi. La prochaine étape est d’ouvrir un cabinet, je l’intègre au 1er novembre, où je vais faire aussi du groupe en présentiel.

Mon cheval de bataille, c’est la nutrition émotionnelle, c’est vraiment là où je suis hyper à l’aise. J’ai une conférence de prévue aussi dans la piscine qui est dans la ville à côté de chez moi. Il y a plein de petites choses. Je ne suis pas encore arrivée à l’objectif parce que ça fait un petit peu tôt quand même, mais voilà, je suis très confiante ».

Quels sont tes autres axes de développement ?

« J’ai pour objectif de créer une équipe pour pouvoir travailler à plusieurs. J’ai un projet aussi avec deux autres thérapeutes pour pouvoir aussi créer des ateliers dans lesquels on pourrait venir un petit peu, j’allais dire, briser les croyances limitantes, alors bien sûr au niveau alimentaire me concernant, mais aussi au niveau des blessures, également au niveau du mouvement, avec une thérapeute qui est plutôt spécialisée dans le yoga. Donc L’objectif, c’est aussi de se réunir à plusieurs et de venir vraiment apporter des ateliers de qualité et dans lequel les gens ressortiraient avec un changement d’horizon, un changement de vie, un changement de regard sur eux-mêmes, surtout ».

Est-ce que tu te sens légitime aujourd’hui dans l’exercice de ton nouveau métier ?

« Oui, pleinement, parce que c’est quelque chose que je faisais déjà. Pour moi, j’ai juste rajouté une corde à mon arc, mais c’était bien plus compliqué de passer d’infirmière à psychopraticienne, il a fallu que je travaille ma légitimité et Dieu merci, j’ai travaillé avec des psychologues extraordinaires qui m’ont vraiment considéré comme leur père et qui continuent à m’orienter, même leurs propres patients. Donc, ma légitimité est déjà travaillée depuis longtemps, je n’ai pas eu ce travail-là à faire. Mais je sais qu’il faut le faire à un moment donné et je sais que pour certains ou certaines, parfois c’est un cap qui est difficile. Et il y a toujours ce fameux syndrome de l’imposteur qui revient, mais ça me titille de temps en temps, il ne faut pas croire, on n’est jamais guéri complètement ».

Quels conseils tu donnerais à nos élèves ici présents ?

« Ce que j’ai envie de vous dire déjà, c’est que franchement, vous êtes au bon endroit, parce que les connaissances que m’ont apportées l’équipe et le Dr Rougier, a été énorme et ça m’a vraiment changé ma vie. Profitez pleinement de ces connaissances, des ateliers, c’est une École qui est tellement bien faite. Mais surtout, et tu l’as un petit peu dit tout à l’heure, j’insiste sur aussi, prenez aussi conscience de vos connaissances, de vos compétences, parce que c’est vraiment avec ça que vous allez faire votre propre carte d’identité. Je ne vous cache pas que le domaine de la nutrition est très concurrentiel, on voit de tout, mais absolument de tout, des choses aberrantes. Et moi-même, j’ai vu un des collègues que je pensais un petit peu plus sérieux. Je suis tombée sur des choses très restrictives, très… Alors, faites votre propre carte d’identité.

Pensez à cibler énormément. Notamment si vous voulez travailler en ligne ou sur les réseaux, parce que si vous ne ciblez pas, vous allez vous noyer dans la masse. Le ciblage, pour ceux qui ne connaissent pas, c’est avoir un client cible auquel on s’adresse. Moi, je m’adresse principalement aux femmes et surtout aux femmes passées 40 ans, qui ont déjà un petit peu tout essayé, celles qui ne croient plus aux produits miracles, et elles ne croient plus aux pilules miracles. Et c’est plus à ces femmes-là que je m’adresse. J’ai eu la chance d’avoir des résultats, même chez des personnes sous hormone thérapie. On sait que l’hormone thérapie est assez redoutable dans la prise de poids. Et j’ai eu des résultats avec des personnes sous hormone thérapie. Je crois que c’était chouette de vivre ça avec cette cliente. Donc, ciblez les personnes auxquelles vous allez vous adresser ».

Aujourd’hui, il est possible de vivre de sa passion ?

« Oui, vraiment, mais il faut travailler. Ça demande énormément de travail. Attention, ça ne se fait pas tout seul. Ça demande d’en parler, à aller chercher des partenaires. Parfois, vous allez avoir des gens qui ne vont pas être très cool, mais ce n’est pas grave, on passe et on va vers d’autres. Mais cette formation, c’est une vraie valeur ajoutée, elle est vraiment sérieuse. Moi, j’ai trouvé dans la parole de l’école et du Dr Rougier quelque chose que j’attendais depuis très longtemps, qui m’a réconciliée avec la nourriture, parce que franchement j’étais fâchée avec. On m’avait parlé plusieurs fois d’équilibre alimentaire et je n’y croyais plus puisque derrière les équilibres alimentaires On m’avait affamée. Et aujourd’hui, mon équilibre alimentaire, ça fait plus d’un an que je le tiens sans problème. Et je suis tellement heureuse de le transmettre parce que je vois des femmes qui me disent « mais en fait, c’est simple ». Mais oui, c’est simple. Et on est bien. Il faut dire aussi, je voudrais préciser une petite chose car ça me semble hyper important. J’étais dans une fatigue chronique, j’avais travaillé beaucoup de nuits en tant qu’infirmière, j’étais dans une fatigue chronique depuis plus de dix ans, et je suis sortie de cette fatigue chronique. Je revis.

D’ailleurs, je pense que je n’aurais pas pu faire tout ce que je fais si je n’avais pas changé mon alimentation, si je n’avais pas découvert les index glycémiques et toutes les recommandations du Dr Rougier. Donc merci, Dr Rougier, vous avez changé ma vie ».

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