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Catherine Bayor

Catherine : de l’Assurance au Bien-Être – La révélation qui a tout changé

Bienvenue dans la découverte de cette nouvelle séquence WAOUW. Lors de ces séquences, nos élèves partagent leurs petites et grandes victoires dans leur parcours vers leur nouvelle vie d’entrepreneur du bien-être. Dans cet opus, nous découvrons l’histoire de Catherine Bayor, certifiée des formations 5.3 Nutrition et Entrepreneur.

Pourquoi tu es passionnée toi-même par la pleine santé ?

Catherine Bayor « Je vais vous expliquer un petit peu mon histoire. Je m’appelle Catherine, j’ai 56 ans, j’ai deux grandes filles et je travaille dans le bien-être depuis 6 ans. J’ai d’abord eu une carrière professionnelle dans les assurances pendant 25 ans. J’ai fait de la gestion de patrimoine, tous les métiers qui étaient possibles dans des grosses compagnies d’assurance. Et puis, j’ai eu envie de trouver du sens à mon activité parce que je trouvais du sens quand je faisais des rendez-vous clients, mais les compagnies d’assurance, elles m’abandonnaient. On a dit que c’était parce que je faisais ma crise de la cinquantaine, du coup j’avais vraiment envie de me reconnecter à ce qui me faisait vibrer. Je n’avais pas la sensation d’être mal dans mon boulot puisque je m’éclatais, c’est juste mon corps qui a parlé puisque j’ai pris 25 kg, mais je ne le voyais pas. À un moment donné, le corps a dit stop, et j’ai été pas bien, j’étais appareillée, je n’arrivais plus à marcher, je n’arrivais plus à respirer, et je n’étais pas assez grosse pour me faire opérer. J’ai eu la Providence, il y a une diététicienne qui m’a pris en charge et qui m’a parlé de tout ce qui était kilo-émotion, on a travaillé sur le fait de comprendre pourquoi j’avais grossi, pourquoi j’avais maigri, et j’ai analysé toutes mes phases de ma vie, puisque j’avais plus de 50 ans, et j’ai compris que l’alimentation c’était le refuge de mon stress. J’ai récupéré, quand j’ai compris ça, j’ai plus fait de régime, et j’ai perdu complètement mes kilos, j’ai même plus de balance chez moi, je me suis complètement déconnectée, et j’ai repris plaisir à manger. C’est devenu ma mission, c’est-à-dire qu’aujourd’hui j’ai envie de transmettre cette idée de joie, de plaisir, de respect aussi de son corps, de s’écouter, de savoir quand son corps demande, quand son corps est fatigué et surtout, d’être inspirante pour tous ceux qui n’y croient plus. On vit vraiment une grosse étape dans la société où les gens sont tristes, sont pas bien dans leur vie. Et moi, c’est très important pour moi de leur témoigner cette joie »

Catherine : de l’Assurance au Bien-Être – La révélation qui a tout changé

Peux-tu nous expliquer le début de ton activité, comment ça s’est passé ?

« Mon déclic, c’est une personne que j’ai croisée, qui était assez forte dans le développement personnel, et qui m’a dit un jour, si tu devais mourir demain, qu’est-ce que tu aimerais qu’on pense de toi et qu’on dise de toi, c’est là où j’ai pris conscience que vraiment, que c’était pas le fait d’être hyper performeuse dans les assurances. Mais par contre, c’est comme ça que c’est venu en me disant, que je n’étais plus alignée à ce que j’ai envie de faire sur la Terre. Ça été le déclic pour moi. J’ai réellement envie de réapprendre aux gens à se reconnecter à ce bonheur et à transmettre ça, donc toute ma joie, mon audace, ma résilience et surtout la liberté d’être ce que je suis et assumer et oser. C’est absolument le message que je fais passer dans mes coachings, c’est oser d’être soi. Et ce n’était surtout pas dans les assurances que c’était possible. On ne se pose jamais cette question, mais c’est vrai que ça peut arriver. Et je me suis dit, mais ce que tu as accompli sur la terre par rapport à mon expérience parce qu’on a tous des vies nos âges avec des hauts et des bas et à part élever ses enfants, faire en sorte que notre famille aille bien, mais sur la terre on sert à quoi ce fut le déclic de me dire, mais en fait, elle a raison, moi j’ai besoin de transmettre ce qui s’est passé dans ma vie, parce que moi, j’ai fait tous les régimes possibles, et avec le jugement, le fait que les gens nous considèrent comme faibles. Ce n’est pas possible. Aujourd’hui, je veux vraiment reconnecter au bonheur et surtout au plaisir de manger ».

Qu’est-ce que tu as mis en place pour recruter tes premiers clients ?

« Je voulais vous dire, parce qu’on avait un petit peu discuté avant, ça fait 6 ans, je voulais vous transmettre de croire en vous et de surtout être toujours en alerte par rapport à ce qui se passe par rapport à votre passion. Je suis à ma quatrième version de mon activité. Première version j’ai d’abord été coach. Moi, ma base, c’est vraiment accompagner les gens. Donc, moi, je me suis certifiée dans une école de coaching en neurosciences. Et donc, j’ai commencé comme ça.

J’ai commencé avec un partenariat avec une diététicienne, puisque je n’avais que des bases d’alimentation, je n’étais pas formée. Cette personne était pour moi trop médicale, trop rigide par rapport à l’accompagnement que je voulais, puisque pour moi, ce que je dis, c’est qu’on est complémentaire avec les diététiciens, on n’accompagne pas de la même façon et ce n’était pas moi. Il y a une valeur très importante pour moi, c’est la liberté, et je me sentais un peu contrainte avec cette personne. Donc, c’est comme ça que je suis venue à 5.3. Je suis venue en deuxième parcours de formation et j’ai trouvé vraiment tout ce que je voulais. Depuis 2021, j’ai envie de participer à ce projet pédagogique parce que pour moi, c’est vraiment une super formation. L’École a été très importante pour moi. 

Deuxième version, je me suis détachée de la diététicienne et je suis devenue autonome pour moi, l’alimentation, c’est plutôt du plan d’action par rapport à mon accompagnement. Donc, ce n’est pas la base de mon activité. 

Troisième version, j’ai déterminé mon persona, j’ai travaillé mon persona de plus en plus précisément. Et là, j’étais sur hommes et femmes, plutôt entrepreneurs parce que je suis assez investie dans les milieux d’entrepreneurs, je suis allée dans la facilité, et des gens qui étaient comme moi, stressés, qui ne pensaient pas à nous.

Quatrième version, c’est aujourd’hui, et ça David connaît bien mon projet, c’est que malgré tout ça, depuis un an je suis sur un projet, puisque vous allez voir, moi je travaille et c’est mon activité principale, je me suis aperçue que les hommes étaient les oubliés un peu des coachings, c’est-à-dire que les femmes, quand on ne va pas bien, on sait parler, on s’est alerté. Et donc, mon côté rebelle fait qu’en sorte, je me suis dit je vais aller chercher des hommes parce que derrière chaque homme il y a des femmes et c’est compliqué et impossible depuis un an de déclencher cette activité parce que c’est le regard souvent des gens quand on dit qu’on doit s’occuper des hommes, toutes mes belles croyances par rapport à ça. Dans ma quatrième version, et donc impossible de déclencher, donc je me suis reformée avec David, avec seul objectif, c’est de dire moi dans trois mois je veux pouvoir être complètement autonome, assumer qui je suis. C’est pour ça que c’est un éternel… On s’améliore tout le temps et on est sur son chemin et vous allez pouvoir complètement trouver l’accompagnement qui vous correspond. C’est ça qui est important.

Aujourd’hui, j’ai à peu près deux coachings par jour, ce qui fait à peu près 10 par semaine. J’ai beaucoup travaillé ma posture d’entrepreneur. Par contre, je travaille en protocole. C’est-à-dire que c’est moi qui donne les règles de mon accompagnement. Je suis complètement à l’aise au fait de me faire payer parce qu’on leur vend notre compétence. Donc ça, c’est super important. Je ne marche pas à la séance, ce sont des protocoles de 12 séances, et je leur propose de payer en trois fois, comme ça, moi, ça me fait du revenu mensuel. Et tous ceux qui ne veulent pas ça, ils ne viennent pas. Je préfère m’accompagner à peu de gens et pouvoir faire d’autres choses à côté par rapport à ça. Ma stratégie, c’est de viser trois nouveaux clients par mois pour continuer à faire ce revenu fixe, puisque c’est devenu un revenu fixe. À côté, j’ai une autre mission, c’est de développer la vitalité dans l’entreprise. C’était quelque chose que je voulais faire, mais je voulais avoir une offre un peu originale parce qu’aller dans des entreprises c’est très compliqué. J’ai trouvé un partenaire qui a pour mission de promouvoir la vitalité dans l’entreprise auprès du chef d’entreprise en lui expliquant que s’il ne fait rien, ça va lui coûter beaucoup d’argent. Du coup, moi, je me suis dit, c’est une approche hyper intéressante et du coup, on propose des diagnostics à ces chefs d’entreprise chiffrés. Donc, Dès qu’on parle d’argent, David va me dire, il est OK avec moi, dès qu’on parle d’argent, ils écoutent un peu plus. C’est ma mission et du coup dans cette entreprise, ma mission c’est de m’occuper du développement commercial et de recruter les praticiens qui interviennent dans ces entreprises, puisqu’en fait, on va vendre ce diagnostic, mais on va aussi vendre de la prestation de pleine santé, c’est-à-dire que c’est complètement par rapport à ce qui se fait à l’école. On est sur les cinq postures du vivant, donc la posture, l’alimentation, le sommeil, la respiration et le coaching ».

Aujourd’hui, tu te sens légitime ?

« Alors légitime, oui. Et je l’assume complètement. Et ce n’est pas facile parce que tout l’envahissement, parfois, ils ne comprennent pas votre itinéraire. Par rapport à mon parcours, quand j’ai dit à ma famille que je quittais mon super boulot d’assurance, ils m’ont dit, mais c’est n’importe quoi, tu as fait tout ça pour vendre des crèmes et faire du blabla. Enfin ma mère, elle croit que je suis déléguée médicale quand même, vous voyez le truc. Mais moi, je suis tellement heureuse, moi j’assume que je suis heureuse et surtout c’est que je me rapproche de ma mission de vie et aujourd’hui, pouvoir vivre de son métier et en plus être dans sa mission de vie. Mais c’est génial. Moi, je ne travaille pas. En fait, je suis tout le temps en train de faire ça ».

Quels conseils tu donnerais à nos élèves ici présents ?

« Les petits conseils que je pourrais vous donner, déjà, c’est de prendre du temps de créer des bases solides de votre entreprise. Aujourd’hui, quant à moi, parce que j’ai pu enfin quand même aussi essayer d’apporter ma petite pierre à l’école, c’est vraiment prendre du temps dans tout, de bâtir des bases de votre entreprise, que ce soit votre mission, le persona, votre posture aussi et surtout votre stratégie de développement. C’est la base, c’est comme si vous étiez une maison, parce que parfois, on veut aller trop vite et du coup il faut revenir en arrière. Donc c’est super important. Oser se lancer tout de suite et se faire payer. C’est-à-dire que souvent, on se dit quand on a fini le programme, parce que moi j’avais trouvé ça très dur la nutrition, parce que je n’étais pas du tout là-dedans, et je me suis dit je ne suis pas du tout légitime, je ne vais pas y arriver, je vais faire plein de petits bêtas testeurs gratuits pour voir si je suis légitime, non, vous y allez et ce n’est pas grave si ce n’est pas parfait. Il n’y a que vous qui savez que ce n’est pas parfait. Celui qui vous prend l’accompagnement sait qu’il sait encore moins que vous. Donc, surtout vous y allez. Il faut que vous soyez à l’aise avec votre prix. C’est-à-dire que moi, on me dit oui, je fais 30 euros. On n’a pas trop parlé. Moi, aujourd’hui, en n’ayant pas fait grand-chose, je fais payer, travailler sa posture et tout le temps apprendre. Et surtout, être critique de soi-même ».

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