Changement de Cap : La transition émouvante de Julie de la Banque au Bien-Être

Bienvenue dans la découverte de cette nouvelle séquence WAOUW. Lors de ces séquences, nos élèves partagent leurs petites et grandes victoires dans leur parcours vers leur nouvelle vie d’entrepreneur du bien-être. Dans cet opus, nous découvrons l’histoire de Julie Gojard, certifiée des formations 5.3 Nutrition, Gestion du Stress et Entrepreneur.

Pourquoi est-ce que tu es passionnée par l’univers du bien-être ?

Julie Gojard J’ai eu quelques soucis de santé au cours de ces dix dernières années, deux enfants, le Covid, et une grosse remise en question sur mon travail. Ça faisait 15 ans que j’étais dans la banque, et j’avais besoin de voir autre chose. J’ai fait mes recherches, et je suis arrivée sur la nutrition, qui me passionne. Est-ce n’est pas facile de rentrer tous les soirs en pleurant à la maison et que nos enfants nous voient comme ça et qu’on ne passe pas un bon moment parce qu’on a passé une mauvaise journée ou est-ce qu’en soit on se dit est-ce qu’on est mieux de prendre un risque et d’être heureux finalement avec un métier qui nous passionne et en l’occurrence un métier qui passionne aussi mes enfants puisque maintenant, ils se sentent autant concernés que moi sur le bien manger et le bien bouger.

Changement de Cap : La transition émouvante de Julie de la Banque au Bien-Être

Julie, comment est-ce que tu as commencé ton activité ?

C’est en parlant avec ma coach de sport. Je faisais du pilates. J’en fais toujours. Et elle m’a proposé de rejoindre le centre de remise en forme. Donc, j’ai un bureau au sein du centre de remise en forme, je fais partie de l’équipe. Dans cette équipe, il y a la coach sportive, il y a un kiné et il y a une praticienne en hydrothérapie.”

Combien as-tu de clients aujourd’hui ?

Si je compte les clients particuliers, j’en ai à peu près une dizaine. Récemment, j’ai animé des ateliers pour des professionnels. Là, je suis à trois professionnels avec à chaque fois un nombre de clients liés aux professionnels. Pour vous donner un exemple, j’ai fait un atelier pâtisserie avec 6 prospects. Donc maintenant, il va falloir que ça vienne. J’ai fait des ateliers sur la semaine du goût que j’ai pu partager dernièrement sur Facebook, où j’ai pu avoir 200 élèves en termes de suivi pour les ateliers. C’est un peu comme si j’avais 200 familles prospects et dernièrement j’ai fait un atelier gestion du stress dans une agence bancaire avec 7 personnes également. Donc maintenant, on croise les doigts pour que ça devienne des clients.

Où est-ce que tu en es de ton objectif de vivre de ton activité ?

Au niveau de mon objectif, pour le moment je n’y suis pas, puisque j’ai intégré le centre de remise en forme au mois d’avril, donc c’est assez récent. Pour autant, le fait d’avoir commencé les ateliers ce mois-ci me permet de me dire que c’est quelque chose qui peut très vite arriver finalement puisque les ateliers sont une belle marche. Là, juste sur ce mois-ci, j’ai généré 600 euros de chiffre d’affaires avec les ateliers. Sachant que pour le moment, j’ai pas encore eu de retour des prospects. Donc j’espère que d’ici le mois prochain et le mois de décembre, ça puisse continuer ainsi. L’idée, c’est de continuer à faire les ateliers, deux à trois ateliers par mois pour pouvoir me faire ce complément de revenu en attendant d’avoir assez de particuliers pour les accompagnements individuels.

La prochaine étape, c’est de développer ces ateliers auprès des écoles ?

C’est ça. L’idée, c’est de développer mes ateliers au niveau des écoles et également au niveau des partenariats, puisque là, j’ai également des partenariats avec des cabinets de kinés, notamment une kiné en rééducation du périnée, donc en l’occurrence ça me permet de toucher les jeunes mamans puisque c’est ma cible à moi. Donc l’idée c’est de créer des ateliers maintenant auprès du cabinet de kiné.

Est-ce que tu te sens légitime dans ton activité ?

Pas tout à fait, pas encore et je pense qu’on ne l’est pas complètement non plus, même après quelques années. Pour autant, j’ai pris énormément de plaisir à faire les ateliers auprès des enfants et là par contre, je me suis sentie à ma place de pouvoir leur montrer qu’une alimentation saine était possible. Maintenant, j’attends de voir si les parents vont me contacter pour leur montrer également que c’est possible.

Quels conseils tu donnerais à nos élèves ?

Pour ceux qui se lancent, je dirai qu’il faut oser, il faut parler de ce que l’on fait, il faut pas hésiter. Vous avez fait un choix de faire cette formation, donc maintenant, n’hésitez pas aussi à en parler autour de vous et vous verrez qu’en parlant, on en parle facilement, vous allez pouvoir finalement vous sentir davantage légitime et surtout d’avoir de plus en plus de clients. N’hésitez pas à en parler autour de vous et d’oser.”

Est-ce qu’il est possible de vivre sa passion en 2023 et bientôt 2024 ?

Il ne faut pas juste oublier de diversifier les sources de revenus, comme disait Fabrice, de façon à pouvoir avoir cet objectif de pouvoir vivre de sa passion.

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