Cyril Bonarini

Cyril Bonarini : Du Sport de Combat à la Pleine Santé

Bienvenue dans la découverte de cette nouvelle séquence WAOUW. Lors de ces séquences, nos élèves partagent leurs petites et grandes victoires dans leur parcours vers leur nouvelle vie d’entrepreneur du bien-être. Dans cet opus, nous découvrons l’histoire de Cyril Bonarini, certifié des formations 5.3 Nutrition, Gestion du Stress et Entrepreneur.

Pourquoi est-ce que tu es passionné donc par l’univers du bien-être ?

Cyril Bonarini « Je fais du sport depuis l’âge de quinze ans, j’ai fait plusieurs compétitions dans les sports de combat. À l’époque, je perdais pas mal de poids pour être dans des catégories plus légères, je mangeais des légumes et de la viande blanche, je perdais du poids rapidement, Mais en arrivant en compétition, je n’étais pas forcément en forme, ma famille me disait que j’étais souvent blanc, malade. Le jour de compétition je n’étais pas en si bonnes formes, cela m’a même causé une blessure. Et je me rends compte qu’à l’âge de quarante-deux ans, je suis plus en forme avec tout ce que j’ai appris »

Cyril Bonarini : Du Sport de Combat à la Pleine Santé

Comment as-tu commencé ton activité ? Quel a été le déclic ?

« J’ai fait la formation en 2021, mes deux premières clientes été ma mère et ma femme. Ma femme qui a perdu en un an dix kilos et ma mère a perdu douze kilos. Aujourd’hui, elles sont toujours à leur poids de forme. Ça a été un déclic parce que j’ai vu que ça fonctionnait sur mon entourage et ça m’a motivé pour le faire sur d’autres personnes ».

À quel moment as-tu ouvert ta micro-entreprise ? Combien de clients accompagnes-tu ?

« Je n’avais pas fait mon entreprise au début, car je n’avais pas pris la formation entrepreneur, j’avais déjà mon auto-entreprise depuis 2013 puisque je suis éducateur sportif dans une salle de sport. J’ai fait la formation nutrition, mais il me manquait quelque chose. Je sentais qu’après la formation, je n’étais pas encore carré sur les autres points et c’est pour ça que j’ai voulu la refaire derrière, de plus vous nous suivez de A à Z donc c’est une motivation, on est tout le temps reboosté et j’ai trouvé ça super. Ça permet de ne pas rester dans sa zone de confort et de se bouger en permanence.

J’accompagnais une quinzaine de personnes en 2023, j’aurais pu en avoir plus, mais comme je cumule trois emplois, je suis au service de la ville d’Annecy en tant qu’éducateur sportif, en tant qu’employé au service des sports, c’est trois emplois me prend du temps.

C’est pour ça que je n’ai pas développé plus, mais par contre, c’est une étape à venir que j’aimerais approfondir ».

Quels sont tes prochains axes de développement ?

« La prochaine étape, est finaliser la gestion du stress et j’aimerais bien continuer sur la phyto, parce que je pense que ce serait un plus, c’est encore d’autres connaissances et c’est important d’avoir plusieurs cordes à son arc et le public que je vise ce sont principalement les sportifs et les artisans parce qu’ils ont connu, c’est un public où je connais la problématique et c’est vraiment l’orientation que je veux prendre. Les gens qui ne prennent pas le temps pour eux sur la journée et justement leur montrer l’importance de manger correctement ».

Est-ce que tu te sens légitime dans ton métier ?

« J’ai mis du temps, sur l’année 2022 j’avais toujours des doutes, mais avec les quinze personnes que j’ai suivies, je peux dire qu’il n’y a que du positif, j’ai eu que des bons retours, il n’y a pas forcément tout le temps de la perte de poids, des fois c’est un peu plus compliqué, mais j’ai que des bons retours comme “je suis plus en forme, j’ai plus d’énergie, moins de gonflement au niveau du ventre, une meilleure silhouette” c’est vraiment que du positif ».

Aurais-tu un petit conseil à leur donner ?

« Alors le conseil, c’est qu’il ne faut pas avoir peur de sortir de sa zone de confort, il faut se lancer parce que si on reste dans sa zone de confort, on n’avance pas ou le temps passe et on ne fait pas les choses alors que si de temps en temps, on se bouge un peu ça avance plus facilement. 

Pour y être passé par là, je dirais passer à l’action. J’étais un an sans rien faire, j’ai perdu une année ».

 Pour toi, est-il possible de vivre de sa passion ?

« Oui, mais je suis mal placé parce qu’il faudrait que je fasse un choix avec mes trois emplois, j’aimerais bien vivre que de ça, je pense que c’est possible, mais encore une fois, il faut oser, mais le faire intelligemment, il faut se poser les bonnes questions et moi ça me convient comme ça pour l’instant mon travail qui me plaît et les coachings à côté ».

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