Angélique Magnier

De l’Équilibre des Comptes à L’Équilibre Alimentaire : Le Parcours d’une Passionnée de la Nutrition et du Bien-Être

Bienvenue dans la découverte de cette nouvelle séquence WAOUW. Lors de ces séquences, nos élèves partagent leurs petites et grandes victoires dans leur parcours vers leur nouvelle vie d’entrepreneur du bien-être. Dans cet opus, nous découvrons l’histoire d’Angélique, certifiée des formations 5.3 Nutrition, Gestion du Stress et Préparation Mentale, Entrepreneur, et en cours de formation en Phytothérapie et Micronutrition.

Pourquoi tu es passionnée par la Pleine Santé ?

Angélique Magnier : « Bonjour à toutes et à tous, je suis passionnée de cuisine depuis toujours et puis je me suis intéressée sur l’impact de l’alimentation sur la santé physique, mais aussi mentale. Voici la raison pour laquelle je me suis je me suis réorientée professionnellement vers la nutrition.

Avant d’équilibrer les assiettes, j’équilibrai les comptes, car j’étais responsable administrative et financière ».

De l’Équilibre des Comptes à L’Équilibre Alimentaire : Le Parcours d’une Passionnée de la Nutrition et du Bien-Être

Quand est-ce que tu as commencé ton activité ? 

« J’ai commencé mon activité en février 2022, ça va bientôt faire deux ans. J’ai d’abord fait la nutrition et puis en gestion du stress et des émotions, j’ai fait les deux dans la foulée. Et puis après j’ai commencé tout doucement mon activité ».

Quel a été le déclic ? Étais-tu encore en poste dans ton ancien travail quand tu as commencé ?

« Non j’ai fait une rupture conventionnelle avec mon ancien employeur. Suite à cette rupture, je me suis lancée. Je n’ai pas fait les deux en même temps, mais ce projet, je l’avais depuis longtemps, j’avais un peu peur de me lancer. Et puis le Covid m’a aidé à franchir le cap ».

Combien de clients accompagnes-tu ? où en es-tu dans ton objectif ?

« Depuis que j’ai commencé mon activité, j’ai accompagné 38 personnes. Ce qu’il faut savoir c’est que j’ai trois axes dans mon activité :

– 1ᵉʳ axe : L’accompagnement individuel.

2ᵉ axe : C’est ce que j’ai développé cette année, ce sont des ateliers de prévention et de sensibilisation dans différents milieux professionnels (écoles, associations, entreprises, résidences seniors).

3ᵉ axe : Je suis aussi formatrice, je donne des cours de nutrition sportive parce qu’en parallèle, j’ai fait une formation nutrition sportive dans un centre de formation ».

Quelle est ta prochaine étape de développement ?

« Ma prochaine étape est de travailler sur plusieurs partenariats avec des professionnels de santé (médecin, kiné, ostéo,etc…). C’est mon cheval de bataille, c’est l’objectif que je donne dans les six prochains mois. Développer un partenariat, avec cela j’aimerais bien pouvoir m’installer quelques jours par mois dans une maison de santé.

Actuellement, la plupart de mes clients viennent de la recommandation, beaucoup de bouche-à-oreille, ce partenariat permettrait d’avoir un nombre d’accompagnements individuel plus conséquent ».

Est-ce que tu te sens légitime d’accompagner toutes ces personnes ?

« J’ai eu un gros problème avec ça, malgré les résultats positifs que j’ai obtenus, quand je fais des formations, quand je transmets mes compétences sur le domaine de la nutrition, les personnes sont ravies, ça marche effectivement, je me sens légitime, mais j’ai quand même encore un peu de mal à le dire, mais je pense qu’on est un peu toutes pareil.

Surement qu’un partenariat avec un médecin qui accorde sa confiance m’aidera à me sentir plus légitime ».

Si tu devais donner un conseil aux élèves ici présents, quel serait ton conseil ?

« Il faut être passionné, cela demande énormément de travail. Il faut y croire et de faire étape par étape, c’est le conseil que je donnerai. Ce n’est pas forcément facile, Mais on avance tout doucement et puis chaque marche de gravi fait qu’on a envie d’en monter une notre ».

Est-ce que tu penses que c’est possible de vivre de sa passion ?

« Oui, je pense que c’est possible. Effectivement, ça ne se fait pas du jour au lendemain. Fabrice parle souvent de trois ans. Je pense qu’il faut au moins trois ans pour pouvoir se dire si nous pouvons en vivre ».

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