En 2 ans, Sophie a Accompagné plus d’une Centaine de Personnes grâce à un suivi Personnalisé et Durable.

Bienvenue dans la découverte de cette nouvelle séquence WAOUW. Lors de ces séquences, nos élèves partagent leurs petites et grandes victoires dans leur parcours vers leur nouvelle vie d’entrepreneur du bien-être. Dans cet opus, nous découvrons l’histoire de Sophie, certifiée des formations 5.3 Nutrition, Gestion du Stress et Préparation Mentale, Entrepreneur, et Phytothérapie et Micronutrition.

Pourquoi tu es passionnée par la Pleine Santé ?

Sophie Balducci : « Il y a quelques années, j’ai fait face à une prise de poids importante due à des problèmes médicaux. Après avoir essayé divers régimes sans succès, j’ai eu la chance de bénéficier d’un suivi en rééquilibrage alimentaire. Cela m’a permis d’adopter une meilleure hygiène de vie, tant au niveau de l’alimentation que sur le plan global, limitant ainsi les impacts négatifs de ma condition médicale. Fort de cette expérience, j’ai ressenti le désir de partager mon parcours et d’apporter mon aide aux personnes qui se sentent perdues face au surpoids ou à l’obésité. Souvent, nous ne savons pas vers qui nous tourner, et les remarques, même de la part du corps médical, peuvent être décourageantes. J’ai réussi à surmonter ces défis, et c’est pourquoi je souhaite encourager chacun à atteindre ses objectifs et offrir mon soutien à ceux qui partagent cette même quête ».

Comment as-tu commencé ton activité ?  Quel a été le déclic ?

« Je travaillais dans le domaine de l’ophtalmologie, mais avec le départ en retraite de mon patron, je n’avais pas le désir de reprendre un poste salarié. Surtout que quelques années auparavant, j’avais eu une boutique de prêt-à-porter que j’avais dû fermer après douze ans en raison de problèmes de santé. Mon souhait était de pouvoir gérer mon emploi du temps de manière plus flexible, surtout lors des moments de fatigue, afin d’être à l’écoute de mon corps en cas de besoin. Ainsi, dès le mois suivant mon licenciement, j’ai choisi de me lancer avec l’École 5.3. J’ai rapidement trouvé des bêta-testeurs, et dès l’obtention de ma certification en nutrition, sans attendre d’avoir complété la gestion du stress, j’ai commencé mon activité. Bien que la transition ait été moins fluide, car je travaillais déjà et je recevais des clients, j’ai néanmoins entrepris cette nouvelle aventure dès la fin de mon emploi précédent ».

Combien de clients as-tu accompagnés ?

« Depuis environ 2 ans, j’ai accompagné près d’une centaine de personnes, avec une moyenne de 2 à 4 nouveaux clients par mois. Mon approche de travail est axée sur le long terme. Initialement, nous avons 3 rendez-vous, dont un bilan. Ensuite, nous planifions 3 séances mensuelles, chacune d’une demi-heure. Après chaque séance, le client reçoit un compte rendu, et le suivi se poursuit. Certains clients sont suivis depuis un an, et au fil du temps, nous ajustons le rythme des séances à 2 par mois, 1 par mois, voire 1 par trimestre. Cette approche permet de maintenir un agenda relativement stable, avec l’arrivée régulière de nouveaux clients, ainsi que le suivi continu des personnes que j’accompagne, quasiment chaque semaine ou toutes les 2 semaines. Au fil du temps, on ajuste le rythme, ce qui contribue à maintenir un planning bien organisé sur toute l’année ».

Tes clients s’engagent au départ avec toi ?

« Au départ, j’avais établi un petit contrat de confiance, entre guillemets, pour impliquer les clients dans le processus. Cependant, étant donné que certains clients étaient des connaissances, il devenait délicat de leur faire signer le document. Ainsi, je le présentais, et s’ils étaient d’accord, ils le signaient. En général, la majorité de mes clients, soit environ trois quarts, sont référés par des médecins. Ils bénéficient donc d’un suivi médical, avec des retours des médecins sur l’évolution de leur situation et de leur collaboration avec moi. Cela crée une atmosphère sérieuse et constructive. Ces clients sont conscients qu’ils ont également leur médecin qui les suit, ce qui élimine toute notion de réprimande. En règle générale, la collaboration se déroule très bien, et à la fin du mois, nous planifions les rendez-vous pour le mois suivant. L’ensemble du processus se déroule de manière harmonieuse ».

Quelle est la durée de cet engagement ?

« En fonction du poids, nous calculons une estimation du temps nécessaire pour atteindre les objectifs. Cependant, je souligne toujours qu’il est impossible de prédire avec certitude la perte de poids sur une période donnée. En moyenne, en considérant les kilos à perdre, je leur indique qu’il faudra probablement au moins 6 mois à un an pour atteindre ces objectifs. Nous renouvelons les rendez-vous chaque mois, et parmi les plus de cent personnes que j’ai accompagnées, seules 2 ont arrêté en cours de route. Il semble que certains n’étaient pas très motivés au début. D’autre part, j’ai des clients qui voyagent dans le monde entier, mais même s’ils sont au Maroc ou à New York, ils trouvent un moyen de me contacter en tenant compte du décalage horaire. Cela démontre que lorsque la motivation est réelle, le suivi peut être maintenu peu importe la situation géographique ».

Et est-ce que tu arrives à vivre de ton activité ?

« Effectivement, je parviens à me verser un salaire. Cependant, je n’ai pas fixé un salaire élevé, d’autant plus que mon bureau se trouve à la maison. J’ai délibérément choisi cette approche, car j’ai 2 ou 3 autres activités en parallèle. Ainsi, l’ensemble de mes activités complémentaires contribue à maintenir un équilibre financier. J’ai opté pour des tarifs relativement abordables afin de favoriser un suivi à long terme, travaillant davantage sur le volume de clients plutôt que sur des séances onéreuses. Cela me permet de maintenir des tarifs accessibles, tout en complétant mes revenus avec mes autres activités ».

Quels sont tes actes de développement par rapport à ton activité ? Qu’envisages-tu ?

« À chaque installation d’un nouveau médecin dans les communes avoisinantes, je prends l’initiative de lui envoyer un courrier ou de me présenter en personne, notamment si je connais la secrétaire. Les étapes de cette démarche restent généralement les mêmes : une présentation de ma part et une discussion sur les axes de développement. Comme mentionné précédemment, je travaille dans divers domaines connexes, et mon objectif est d’offrir une approche holistique. Cette approche inclut la nutrition, la gestion du stress, le conseil en habillement, l’apithérapie, ainsi que les soins de la peau à travers les bijoux. Cette diversité d’activités vise à compléter le parcours de la personne, renforçant ainsi sa confiance en soi à travers différents aspects. Mon aspiration est de créer un espace global, une sorte de maison du bien-être ou de la beauté ».

Est-ce que tu te sens légitime aujourd’hui ?

« Au début, des doutes et des craintes m’ont assaillie. Je me suis dit, Sophie, veille à ne pas empiéter sur le domaine des diététiciennes, qui sont déjà au nombre de six pour un village de mille cinq cents habitants, avec trois maisons de santé dans les vingt kilomètres environ. Bien sûr, les appréhensions ont été présentes au départ, mais une fois que l’on reconnaît ses limites de compétences, on peut se sentir rassurée. J’ai tenté de rendre visite à certaines diététiciennes, certaines ont coopéré, mais d’autres pas du tout. J’ai parfois ressenti que j’étais mise à l’écart, que ma compétence était mise en doute. Cependant, j’ai choisi de suivre mon propre chemin, convaincue que mes compétences, acquises notamment grâce à une formation dispensée par des diététiciennes, me légitiment. Reconnaître ses limites de compétences est essentiel, non seulement dans le rapport avec les diététiciennes, mais aussi dans d’autres situations, comme lorsque je conseille aux patients de consulter un endocrinologue si nécessaire. Cela renforce ma légitimité, car les gens reviennent vers moi après avoir suivi ces conseils spécialisés ».

Si tu avais un conseil à donner à tous, quel serait-il ?

« Il est essentiel de croire en son projet, d’avoir confiance et d’oser admettre quand on ne sait pas quelque chose, en promettant de se renseigner. Plus important encore, il faut se lancer. Rien n’est jamais parfait au départ. En examinant mes premiers dossiers, je me suis rendu compte que mes débuts n’étaient pas parfaits, mais chaque jour apporte son lot d’apprentissage et d’évolution. Il est crucial de ne pas rester figé dans l’attente d’acquisitions spécifiques. L’attente perpétuelle engendre la peur, donc il ne faut pas succomber à ce piège. Cependant, il est toujours nécessaire de se remettre en question, d’apporter des ajustements et d’évoluer constamment. L’essentiel est de commencer, car l’attente perpétuelle équivaut à ne jamais débuter ».

Est-ce que d’après toi, il est possible de vivre de sa passion ?

« Absolument, je pense que chacun peut se fixer son propre salaire mensuel et développer son activité en conséquence. Cela implique de définir un objectif salarial personnel, en lien avec le nombre de clients souhaité ou d’autres activités complémentaires. Bien sûr, ce n’est pas toujours simple, mais c’est le propre de l’entrepreneuriat. Il est crucial d’être fier de chaque petit pas, des petites victoires et même des grandes. Chacun est unique, donc il est important de rester authentique et de ne pas se comparer aux autres ».

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