Le Parcours Inspirant de Charlotte : De l’Éducation Physique à l’Entrepreneuriat dans le Bien-Être

Bienvenue dans la découverte de cette nouvelle séquence WAOUW. Lors de ces séquences, nos élèves partagent leurs petites et grandes victoires dans leur parcours vers leur nouvelle vie d’entrepreneur du bien-être. Dans cet opus, nous découvrons l’histoire de Charlotte, certifiée des formations 5.3 Nutrition, Gestion du Stress et Préparation Mentale et Entrepreneur.

Pourquoi tu es passionnée par l’univers du Bien-Être ?

Charlotte Truffaut : « Je suis Professeure d’EPS et quand j’étais jeune, j’ai fait beaucoup de compétitions de tennis. C’est à ce moment-là que j’ai commencé à m’intéresser à la nutrition pour augmenter mes performances afin d’être plus efficace lors de mes entraînements, ma récupération, etc… Ensuite, j’ai eu ma deuxième fille qui est atteinte de trisomie 21 est aussi une intolérance au lait de vache, elle assimile moins bien les vitamines ce qui lui fait perdre du poids, c’est pour cela aussi que je me suis aussi beaucoup Intéressée à la nutrition avec toujours cette volonté d’allier le Bien-Être, tout ce qui est santé sport, c’est quelque chose qui est très lié et je cherchais à étendre mes compétences dans la vue d’une possible reconversion et ça faisait un moment que je cherchais une formation dans le Bien-Être et je suis tombée sur l’École 5.3 via une pub sur Facebook et suite à un appel découverte, j’ai tout de suite adhéré à la méthode, j’ai adoré ma formation que j’ai faite en un mois et j’ai enchaîné par le parcours entrepreneur en même temps ».

Comment est-ce que tu as commencé ton activité ?

« J’ai commencé par la nutrition et j’ai enchaîné avec la gestion du stress début, par la suite, j’ai ouvert ma micro-entreprise en début février 2023 et mes bêta testeurs que j’avais sur ma formation nutrition sont devenus mes premiers clients. C’était mon objectif dès la fin de ma formation de gestion du stress en faisant un parcours entrepreneur, j’ai ouvert mon entreprise et mes bêta testeurs ont signé pour continuer en tant que client. C’est comme ça que tout a commencé avec mes premiers clients ».

Où en es-tu dans ton objectif ? Combien est-ce que tu as de clients ?

« J’en ai accompagné une quinzaine depuis février. Mon objectif c’est de pouvoir quitter l’éducation nationale et faire une reconversion. J’ai réduit mon temps de travail avec mon activité. Je ne peux pas encore en vivre, Mais j’espère que d’ici à 2024 que je puisse encore diminuer mon temps partiel, 5.3 nous apprend à avoir nos trois sources de revenus, j’ai un revenu sécurité et puis je développe à côté mon entreprise. Aujourd’hui, je fais un jour par semaine en cabinet, j’essaye de pouvoir développer étape par étape dans l’espoir d’en vivre très bientôt ».

Quelle est ta prochaine étape pour commencer 2024 ?

« Après la mise en place de ma micro-entreprise, cela s’est enchaîné logiquement. Nous avons formé un groupe qui a été incroyablement bénéfique au démarrage de notre parcours. Notre prochaine étape consiste à concentrer nos efforts sur le développement de partenariats. J’ai déjà entamé l’intégration dans une maison de santé et je cherche à élargir mes partenariats pour consolider ma clientèle. L’objectif est de collaborer étroitement avec les médecins et les kinésithérapeutes de ma région ou de mon cabinet de santé. Mon principal axe de travail actuel est là. En parallèle, je lance quelques initiatives digitales sur les réseaux pour poser les bases d’une présence en ligne, attirer des prospects et établir des contacts. C’est une manière de préparer le terrain pour une transition vers un modèle plus digitalisé ultérieurement. Mais pour l’instant, mon focus principal reste sur le développement de partenariats ».

Est-ce que tu te sens légitime d’accompagner tes clients ?

« Actuellement, je me sens de plus en plus légitime à mesure que j’accompagne mes clients. Travailler dans un cabinet de santé renforce également cette légitimité aux yeux de ceux à qui je présente mon activité. C’est surprenant de constater à quel point le simple fait de mentionner notre présence dans un cabinet confère une dimension plus professionnelle à notre travail. Cela contribue à renforcer notre confiance en nous, une confiance qui, je pense, est intimement liée à notre parcours. Au début, j’avais peu confiance en moi, mais au fil du temps, même si des doutes persistent, je réalise que ces incertitudes sont aussi un moteur pour avancer au quotidien. Elles nous poussent à nous remettre en question, à évoluer. Aujourd’hui, je me sens légitime et surtout aligné avec ma voie ».

Quels conseils souhaiterais-tu donner à ceux qui vont se lancer en 2024 ?

« Il est primordial de travailler avec méthode, de s’organiser et de se donner les moyens nécessaires. C’est un cheminement positif, mais il est essentiel de ne pas s’épuiser en voulant tout réaliser simultanément. L’organisation et la gestion du temps sont fondamentales pour trouver son rythme. Atteindre un objectif en deux ans ou en un an, c’est propre à chacun. Il est important de définir ses propres échéances et de se donner les moyens d’agir. Même si parfois nous faisons des erreurs, cela fait partie du processus d’apprentissage. Ne rien entreprendre équivaut à stagner, alors osez, avancez, c’est formidable, foncez ».

Est-ce que tu penses qu’il est possible de vivre de ta passion ?

« Je suis optimiste à ce sujet. D’ailleurs, j’ai des exemples concrets comme celui d’Élodie, qui vit actuellement de sa passion. Elle est une ancienne élève de l’école et son parcours est une source d’inspiration. Cela me conforte dans ma conviction que vivre de sa passion est réalisable aujourd’hui. C’est d’ailleurs mon objectif et j’y travaille ».

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