Bienvenue dans la découverte de cette nouvelle séquence WAOUW. Lors de ces séquences, nos élèves partagent leurs petites et grandes victoires dans leur parcours vers leur nouvelle vie d’entrepreneur du bien-être. Dans cet opus, nous découvrons l’histoire d’Amélie, certifiée des formations 5.3 Nutrition, Gestion du Stress et Préparation Mentale, Entrepreneur, et Phytothérapie et Micronutrition.
Pourquoi tu es passionnée par la pleine santé ?
Amélie Blaecke : « Je suis ravi d’être ici parmi vous, je ne pensais pas y être à mon tour un jour. C’est la meilleure nouvelle pour tous les élèves de l’école car si j’y suis arrivée, tout le monde peut y arriver. Pour ma part, je suis docteur en biologie moléculaire. J’ai travaillé pour les laboratoires Pierre Fabre, je me suis arrêtée pour m’occuper de mes cinq enfants, ensuite je suis partie à l’étranger et quand je suis revenue, je n’ai pas repris mon travail, et c’est voyant grandir mes enfants que j’ai toujours voulu les sensibiliser sur la nature, le sport, etc…
Quand ils ont grandi, ils faisaient beaucoup de sport et je me suis posé la question par quel moyen je pouvais continuer à les aider quand ils allaient partir de plus je sentais qu’il fallait que je reprenne une activité, mes cinq enfants font de l’athlétisme, mais deux d’entre eux sont sportifs de haut niveau. Je me devais de les aider. J’ai commencé par la nutrition et j’ai vite vu que ça ne suffirait pas. À ce moment-là, je me suis lancer dans les autres formations, comme la gestion du stress qui m’a apporté beaucoup de bénéfice pour moi et pour mes enfants. Les plus jeunes sont plus faciles à convaincre que les plus âgés. Je pense que pour les plus âgés, il faut quelqu’un d’autre que les parents pour les aider. Mais sinon la nutrition, j’ai toujours aimé aller au marché préparer à manger, j’ai perpétuellement fait ça, donc j’ai toujours été sensible à ce sujet. La pleine santé, c’est quelque chose qui est vraiment au cœur de ma vie ».
Tu as suivi les formations 5.3 pour toi et pour ta famille ?
« Exactement, au départ, j’ai fait ça pour moi et de fil en aiguille, j’ai gagné en aisance. J’ai eu la chance de voir la mise en place du programme mentorat au sein de 5.3, je me suis dit que c’était l’occasion de commencer à aider les autres et de gagner en confiance en moi, d’enrichir mes connaissances et de savoir comment transmettre les outils. J’ai commencé comme ça et j’ai adhéré avec les bêta testeurs, mon mari étant mon premier bêta testeur quand j’ai vu qu’il avait perdu du poids, car il avait pris du poids autant que moi pendant mes cinq grossesses et il n’arrivait pas à les perdre et quand j’ai vu qui perdait vingt, vingt-six kilos, c’est là que j’ai vu que ma technique fonctionnait et que ça fonctionnait aussi sur les personnes que j’accompagnais, je me suis dit que pourquoi pas quoi.
J’ai eu la chance de bénéficier d’autres choses, comme d’être mise dans un groupe d’accélération où vraiment le groupe fait énormément, on se motive, on se donne des bons conseils et là ça a été le déclic pour moi. Je me suis dit si les autres y arrivent, je vais y arriver aussi. C’était l’élément déclencheur. Je me suis dit que j’allais me lancer parce qu’il n’y avait pas de raison. Suite à cela, je me suis lancé. Ça s’est fait un petit peu vite, parce qu’on nous recommandait de chercher des partenariats, c’est ce que j’ai fait et pour être plus à l’aise, j’ai commencé à chercher ce qu’il y avait autour de moi, c’est-à-dire les gens que je connaissais, qui étaient dans le milieu médical avec qui j’aurais pu établir des partenariats aussi bien la pharmacie que mon médecin généraliste et autres. Çela a commencé comme ça et j’en ai parlé à une amie qui est sage-femme, elle m’a dit de venir la voir pour en discuter. On a discuté et le lendemain j’avais mon premier coup de téléphone ».
Aujourd’hui, combien de clients accompagnes-tu ?
« Aujourd’hui, grâce à cette sage-femme, j’en ai cinq que je suis avec elle, plus une autre qui est une amie qui m’a demandé si j’avais lancé mon activité, j’ai dit oui, elle est aussi très contente parce qu’en peu de temps, elle a réussi à se sentir plus en forme et à perdre du poids. Je travaille en parallèle dans une école primaire dans lequel j’ai rencontré une diététicienne qui voulait faire des ateliers à l’école, suite à cela j’avais déjà établi un devis pour faire un atelier dans cette école auprès des enfants. Je l’ai appelé, je lui ai demandé si elle voulait qu’on fasse ça ensemble et qu’on collabore. Elle était vraiment contente, car c’était une jeune diplômée qui se lançait, on a fait notre premier atelier en CP juste avant les vacances, en plus ça tombait sur la semaine du goût et de fil en aiguille, on a décidé de faire des ateliers auprès des parents et de continuer à collaborer au sein d’une école où on va répliquer ça sur une autre classe ».
Peux-tu nous expliquer pourquoi tu as dit “si moi, j’y arrive, tout le monde peut réussir” ?
« J’ai une barrière tous les centimètres, et j’ai réussi à les franchir. Si j’ai réussi à les franchir, tout le monde peut les franchir. C’est vrai qu’on a tendance à procrastiner, à se dire qu’on n’a pas assez de contenu, qu’il faut toujours se former davantage ou que le but, c’est de répondre à la demande du client. Le client, il aura une autre manière de fonctionner, il aura besoin d’autres choses, on crée le contenu petit à petit, d’où l’importance de se libérer, de se positionner des plages pour justement créer du contenu dans sa journée. C’est important d’avoir des plages horaires pour pouvoir le travailler. Tout le monde peut y arriver, allez-y foncez, tout est possible.
Il faut y aller, le plus facile pour moi, été d’aller voir des gens qui connaissaient mes valeurs, qui savaient que j’avais toujours travaillé sérieusement ».
Quels conseils tu donnerais à nos élèves ?
« Profiter de tout ce que 5.3 a mis en place pour vous, Ces travaux dirigés avec les bêta testeurs, entraînez-vous sur les bêta testeurs, c’est vraiment fait pour ça, c’est là pour vous donner confiance. Travailler et utilisez les outils de 5.3, il n’y a qu’à les dupliquer, ce n’est pas compliqué, on n’a pas besoin d’arriver avec toute une valise qu’on a retravaillé. C’est vraiment les bêta testeurs, les outils de 5.3 et se lancer, aller chercher des gens que vous connaissez, d’autres partenaires si vous avez plus de temps et moins timide ou moins réservé que moi, c’est pas si compliqué, le tout c’est de faire le premier pas ».
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