Muriel Bilger

Muriel et sa découverte inspirante d’un voyage vers l’amplification du Bien-Être

Bienvenue dans la découverte de cette nouvelle séquence WAOUW. Lors de ces séquences, nos élèves partagent leurs petites et grandes victoires dans leur parcours vers leur nouvelle vie d’entrepreneur du bien-être. Dans cet opus, nous découvrons l’histoire de Muriel, certifiée des formations 5.3 Nutrition, Gestion du Stress et Préparation Mentale, Phytothérapie.

Pourquoi es-tu passionnée par la Pleine Santé ?

Muriel Bilger : « Merci de m’avoir invitée à partager mon expérience, j’ai 49 ans, j’ai travaillé en ONG pendant de nombreuses années, à Madagascar, où j’ai construit pas mal de choses, des écoles, des dispensaires, etc. Le but étant d’apporter du bien-être aux populations dites vulnérables. C’est déjà dans mon ADN professionnel, de travailler dans le sens du bien-être. Et en fait, le déclic a eu lieu pendant la pandémie de Covid, où je me suis rendu compte qu’on était tous vulnérables, notamment au niveau de la santé. Je croyais beaucoup à la médicamentation, j’avais tendance à voir en eux les solutions pour tout, et je me suis rendu que j’avais besoin de m’éduquer à autre chose. Et c’est comme ça que j’ai fait ma reconversion pour pouvoir devenir un amplificateur de bien-être, de travailler sur l’autoguérison, d’abord pour moi et ensuite pour les autres. »

Muriel et sa découverte inspirante d’un voyage vers l’amplification du Bien-Être

Quelles solutions as-tu trouvées pour y parvenir ?

Grâce à la certification, j’ai étudié et je suis devenue élève de l’École 5.3 ce qui m’a apportée beaucoup de compétences, de solutions et sur le côté holistique de la santé d’une personne. C’est pour ça que j’ai fait tous les modules, parce qu’ils me paraissaient complémentaires.

Comment s’est passé le recrutement de tes bêta-testeurs ?

Absolument. Les bêta-testeurs, c’était quelque chose de très important. Moi, je l’ai commencé dès que j’ai commencé ma première certification en nutrition. J’ai commencé avec ma famille, mes proches, pour pouvoir vraiment m’assurer de transmettre les compétences auprès d’eux. Ensuite, j’ai commencé, une fois plus à l’aise avec la transmission de mes compétences, et surtout la transmission des outils, j’ai commencé à sélectionner des testeurs, des bêta-testeurs à l’extérieur que j’ai choisi.

Pourquoi as-tu choisi tes bêta-testeurs ?

J’étais déjà assez convaincue de l’efficacité des compétences que je pouvais transmettre. De plus, je voyais le bêta-test plus comme un échange de services qu’un bon de programme. Il fallait que ce soit des personnes qui allaient m’apporter quelque chose, comme moi, j’allais leur offrir, une partie de mes programmes, en échange ils m’offraient aussi beaucoup de choses, un vrai échange. J’ai choisi les bêta-testeurs, selon leur capacité à communiquer leur satisfaction. J’ai choisi des personnes qui avaient un réseau important et qui étaient des leaders dans les cibles que je voulais approcher par la suite. Par exemple, j’ai pris en nutrition une jeune femme végane, parce que j’étais très intéressée pour le rééquilibrage, pour apporter les compétences que j’avais acquises justement à cette population-là. Cette fille était vraiment un leader dans sa communauté, dans le sens où elle avait un blog, elle avait un Instagram très fourni et elle était en surpoids. Je lui ai offert le programme en lui expliquant aussi que les attentes et qu’elle a tout à fait transmises par la suite. Donc, j’ai fait la même chose pour la gestion du stress, en choisissant aussi une personne qui avait un grand bon réseau. Parce qu’au départ, je n’avais pas énormément de réseau, je n’avais pas encore eu le temps de travailler là-dessus. Comme beaucoup d’entre nous encore au départ.

Tes bêta-testeurs, ton permis de recruter de tes premiers clients ?

J’ai eu mes premiers clients payants grâce à mes bêta-testeurs qui ont fait leur travail de leur côté. Et donc, les premiers clients que j’ai eus se sont manifestés grâce au témoignage de ces bêta-testeurs. Il faut dire aussi que j’avais choisi des bêta-testeurs qui étaient intéressés. Je ne suis pas allée faire de l’évangélisation de personnes sceptiques. Je pense qu’au départ, ça me semblait aussi important. Dans les bêta-tests, il y a aussi toujours autour de soi des gens sceptiques. Je pense que le moment des bêta-tests, c’est le moment de s’entourer justement de personnes qui vont être à l’écoute et qui seront donc plus aptes, car on est encore dans une situation où on recherche encore à se renforcer.

Pourrais-tu dire que tu te sens légitime à accompagner ?

Je me sens tout à fait légitime, grâce aux certifications qu’on a obtenues, parce que ça demande du travail d’obtenir ces certifications, ça ne s’obtient pas si facilement que ça.
Ça permet déjà de se sentir légitime. Ensuite, le fait d’avoir des résultats positifs, grâce au bêta test, qui m’ont permis de me ressentir d’autant plus légitime, le témoignage des personnes qui me disent je me sens déjà mieux, c’est vraiment déjà la première gratification.

Quand est-ce que tu as commencé ton activité ?

J’ai commencé mon activité avec des clients que je n’avais pas prévus parce qu’ils m’ont été envoyés alors que je pensais partir en vacances, je commence réellement mon activité en septembre, mais j’ai déjà commencé à suivre des clients payants, on va dire, que je vais pouvoir intégrer dans mon activité officiellement en septembre.

Combien de clients as-tu actuellement ?

En une semaine, j’ai fait 6 consultations, dont 6 séances. C’est un résultat très encourageant pour moi.

Quels conseils donnerais-tu à ceux qui souhaitent se lancer ?

Je pense qu’il y a tellement de conseils déjà dans la formation, c’est difficile d’en trouver d’autres. Moi, je leur conseillerais quand même de mettre en pratique le plus tôt possible ce qu’on apprend dans les cours, autour de soi, parce que c’est très facile à faire, il ne faut pas attendre la fin de la certification, parce qu’il y a des choses qu’on peut mettre en place tout de suite, et ça permet même de se sentir plus à l’aise pour passer les examens. On n’a pas beaucoup de temps, on a l’impression qu’il faut passer la certification rapidement, c’est important de regarder les conférences, vraiment de se faire des petits dossiers. Et puis de croire en eux, dans les compétences qu’on nous apprend, parce qu’elles sont absolument efficaces. Autre conseil, ne pas de garder vos connaissances, particulièrement avec les bêta-testeurs, puisque ce sont eux qui vont vous le rendre.

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