Myriam Saintilan : Sa Passion pour la Pleine Santé, de la Réalité à la Réalisation

Bienvenue dans la découverte de cette nouvelle séquence WAOUW. Lors de ces séquences, nos élèves partagent leurs petites et grandes victoires dans leur parcours vers leur nouvelle vie d’entrepreneur du bien-être. Dans cet opus, nous découvrons l’histoire de Myriam Saintilan, certifiée des formations 5.3 Nutrition et Entrepreneur.

Pourquoi tu es passionnée par l’univers de la pleine santé ?

Myriam Saintilan « Alors, je suis passionnée parce que j’ai grandi avec des problèmes de poids, j’étais une adolescente costaude, j’ai beaucoup souffert de cette obésité, mais bon, j’étais costaude. Et , j’ai vécu les moqueries, comme tout le monde qui est costaud et hors norme. Donc du coup voilà, j’ai perdu du poids vers 18 ans, et c’est vrai que j’ai toujours été passionné par l’alimentation et aussi les régimes, de me dire pourquoi pas perdre du poids, j’ai toujours eu ce questionnement par rapport à perdre du poids, je ne veux pas trop prendre, je suis restée là-dedans. Et en fait, le fait qu’il y ait votre école sur rééquilibrage alimentaire, on n’est plus dans cette notion de régime et c’est ça qui est super important. Alors c’est exact que les gens qui se questionnent quand ils me posent des questions me disent « ah bah oui, c’est encore des régimes » et tout de suite, je les arrête, je leur déclare « mais non, ça t’empêche pas de profiter de la vie, mais raisonnablement, correctement ». C’est comme nous on devrait tous manger moins déjà parce que c’est vrai que nos quantités sont assez importantes, et puis plus correctement ».

Myriam Saintilan : Sa Passion pour la Pleine Santé, de la Réalité à la Réalisation

Quelle formation as-tu suivie au sein de l’École 5.3 ?

« Je suis aide-soignante à domicile de métier. En début d’année 2023, j’ai eu une lassitude par rapport à ce métier que j’exerce depuis 20 ans. En janvier, j’ai fait des recherches pour savoir vers quoi je pouvais m’orienter. Je suis tombée sur votre école, sous le charme de votre école. Je me suis inscrite très rapidement parce que j’ai commencé la formation en février de conseillère en nutrition. En mars, j’ai commencé aussi bloc entrepreneuriat. Donc, la continuité, c’est bien fait. J’ai suivi les formations pendant trois mois et mi-mars, à la moitié de la formation, j’ai cherché mes bêta-testeurs parce que c’est vrai que l’école insiste beaucoup sur les bêta-testeurs et s’il y a un conseil à donner aujourd’hui à ceux qui arrivent dans l’école, ce sont vraiment les bêta-testeurs, c’est indispensable.

J’en ai trouvé cinq qui ont été très motivés, donc ils ont très bien commencé avec moi et qui m’ont aussi bien aidé à gérer les entretiens, comme disait Solane tout à l’heure, c’est juste que pour faire les entretiens, c’est indispensable qu’on s’entraîne, avant avec des personnes auxquelles on ne fait pas payer. Début mai, j’ai eu ma certification et donc ma micro-entreprise a été créée au 1ᵉʳ juin, j’ai très bien été guidée par tes conseils David et par ton tuto que tu avais présenté dans le Deltabook. 

Suite à ça, je me suis racheté un second téléphone parce que je voulais réellement faire la part des choses entre la vie privée et la vie professionnelle. J’ai créé mon blog, j’ai créé mes cartes, mes flyers que j’ai mis partout, j’en ai parlé autour de moi, j’ai été sur les réseaux sociaux, mes bêta testeurs justement, je les ai orientés pour qu’ils me guident et le font aussi de leur côté en fait, mettre les cartes, les flyers ».

Comment tu as recruté tes bêta-testeurs ?

« C’est la famille. J’avais décidé que ma famille très proche en fait serait les personnes auxquelles je ne ferais pas payer les consultations. Et donc, j’ai envie de dire, ils ont profité de l’occasion pour pouvoir justement perdre ce poids, les deux premiers au moins qui étaient motivés. Après, j’ai eu trois clients et en août, j’ai ma sœur qui était à une soirée et il y a un couple qui est tombé sous le charme du physique de ma sœur et qui ont dit que pour un rééquilibrage alimentaire, c’était vraiment spectaculaire. Et ils sont très motivés, c’est super.

Grâce à la réussite de tes bêta-testeurs, j’ai pu avoir des clients comme le couple. C’est vrai que maintenant que les gens 10 kilos et 12 kilos, quand même, ça se voit, c’est vrai que oui. Mais c’est pour ça, les bêta-testeurs, c’est indispensable à la formation. Il faut absolument en avoir ».

Quelle est pour toi ta prochaine étape ? Quel est ton axe de développement ?

« Avec Marie-Élodie, on en parlait. J’avais pour projet à partir de septembre d’aller dans les écoles pour faire des conseils de prévention, des ateliers de prévention, mais je manque de temps, ce n’est pas possible, je n’arrive pas à gérer mon métier d’aide-soignante, ma vie privée, tout ça. Donc ça me frustre parce que j’ai vraiment envie de grandir dans mon évolution de conseil en nutrition, donc je vais baisser mon temps de travail d’aide-soignante à partir de janvier pour justement me permettre d’avoir plus de disponibilité pour créer ces projets. Et puis même pour me faire connaître davantage, j’aimerais aller dans les mairies, proposer plus de choses. Et là, ça me frustre. Je n’y arrive pas.

Alors c’est vrai que dans l’énervement de vouloir quitter le travail en janvier, j’ai dit c’est bon je fais la formation et je quitte tout et en fait en revenant en arrière, c’était sous l’effet de crise mais je ne regrette pas d’être restée parce qu’effectivement le projet, c’est de baisser mon temps de travail petit à petit. Mais en fait, il ne faut pas quitter son activité principale parce que même par rapport aux charges de mutuelle, tant qu’on a un pied dans l’entreprise, c’est des charges qu’on n’a pas. C’est vrai que ça permet de créer l’entreprise sans avoir trop de charges dès le début et c’est vrai que je vais le faire petit à petit ».

Est-ce que tu te sens légitime dans cette activité de conseillère pleine santé ?

« Oui, je suis à 100 %, je suis super contente et quand je vois les résultats actuels, ça me motive. Alors une précision aussi, c’est qu’au moment de ma formation, vous précisiez bien qu’il faut au moins trois ans pour que l’entreprise ou la micro-entreprise soit vraiment viable et c’est réel. Pour l’instant, il y a des mois où je suis à 400 euros, après ça dépend, mais c’est vrai que je ne peux pas en vivre pour l’instant. Mais voilà, petit à petit, là, je peux me permettre de baisser le temps de travail. C’était vraiment le projet premier voulu ».

Quels conseils donnerais-tu à ceux qui souhaitent se lancer ?

« D’être motivés. Il faut être motivés. Moi, je sais que j’y étais dès le début. Et c’est surtout cette histoire de bêta-testeurs, il faut vraiment les trouver parce que ce sont eux qui vont aider, alors nous il faut être motivés mais les bêta-testeurs, Il ne faut pas les forcer, il ne faut pas aller vers eux en leur disant « allez, je cherche quelqu’un ». Il faut leur proposer, mais il faut les laisser venir, car moi je sais que je les ai laissés venir. Ils étaient motivés, tandis que quand on va les chercher et on les force, il n’y a pas de motivation.

Je précise aussi tellement que je suis motivée, je commence là tout juste le Masterclass Sport et Nutrition pour justement enrichir mes connaissances, surtout dans le sport, parce que c’est ce que je craignais un petit peu plus. Et j’ai réussi à avoir un partenariat dans une salle de sport grâce à une bêta testeuse. Donc, les bêta testeurs, il n’y a rien à dire, c’est génial. C’est eux qui doivent nous aider, On ne les fait pas payer, mais ils doivent en échange aussi ».

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