Révélez votre Légitimité en Nutrition : conseils essentiels et Témoignages Exclusifs !

Bienvenue dans cette nouvelle séquence WAOUW dédiée à la légitimité. Aujourd’hui, cette séquence est particulière, nous abordons le thème de la légitimité. Ce sentiment complexe, omniprésent dans le parcours de tout entrepreneur. Il est normal de se questionner sur sa légitimité, de se demander si l’on est à la hauteur. Elle nous pousse à nous améliorer constamment, à devenir une meilleure version de nous-mêmes. Pour illustrer cela, nous avons trois profils uniques qui partageront leurs expériences, évoqueront leurs ressentis passés et présents sur la question de la légitimité.

Amélie, est-ce qu’aujourd’hui, tu te sens légitime dans ce métier ?

Amélie Blaecke : « Je me sens plus légitime qu’au départ, n’ayant pas du tout confiance en moi, j’ai eu beaucoup de mal à me sentir légitime et à démarrer mon activité. Heureusement que j’ai eu des bêta testeurs qui m’ont permis de me donner confiance et de voir que j’avais des résultats. Ça m’a permis de gagner en légitimité ».

Révélez votre Légitimité en Nutrition : conseils essentiels et Témoignages Exclusifs !

Avant, tu te sentais pas légitime. Peux-tu nous en dire plus ?

« Je n’avais pas acquis assez de connaissances et j’avais toujours besoin de creuser davantage, notamment de nouvelles recherches. Je rêvais de concrétiser mes idées, mais j’étais bloquée. J’ai préparé tout le matériel visuel, mais je n’ai pas réussi à me lancer. Passer à l’action était difficile pour moi ».

Et qu’est-ce qui t’empêchait de passer à l’action ?

« Je procrastinais, j’avais peur de passer à l’action et de ne pas me sentir légitime. Suite à mon inscription dans un groupe accélération proposé par 5.3 m’a beaucoup aidé grâce a l’effet de groupe, sentir soutenu, de travailler tous dans le même sens, de bénéficier de l’expérience de ceux qui étaient plus avancés que moi. Ça m’a aidé à me pousser et à me dire que si les autres y arrivaient, moi aussi je pourrais y arriver et c’est comme ça que j’ai démarré. J’ai quand même essayé de me positionner dans la situation où j’allais être le plus en confiance possible. Et pour ça, je me suis tournée donc vers des professionnels de santé que je connaissais, que je côtoyais, qui allait pouvoir m’aider et qui connaissait la personne que j’étais. Ce premier pas m’a permis de me sentir plus confiante et de savoir vers qui me tourner en cas de doute. C’était une avancée significative pour moi ».

Comment l’appartenance à un groupe aide-t-elle à éviter la procrastination et à surmonter la peur de l’isolement chez les entrepreneurs ?

« Cela m’a aidé à me sentir plus en confiance, grâce à ce groupe, je me suis dit que j’allais y arriver, me diriger vers ces professionnels qui me connaissaient et m’ont envoyé des clients, ce qui m’a permis de lancer mon activité. J’ai eu d’autres occasions, je voulais vraiment intervenir dans les écoles parce que ma cible c’était de sensibiliser les plus jeunes pour pouvoir sensibiliser les parents et j’avais comme idée de développer des conférences pour les parents. Là aussi pour ceux qui n’osent pas se lancer, l’école est une cible facile si vous amenez vos enfants à l’école, il suffit d’aborder la directrice et expliquer le programme que vous voulez proposer. Je travaillais dans une école et une diététicienne a proposé un programme similaire au mien à l’école. Ayant déjà établi mon programme, j’ai pensé que c’était une opportunité pour moi de collaborer avec elle, étant donné que nos profils ciblent différaient. J’ai expliqué notre complémentarité : mon approche visait les personnes en bonne santé, alors que son expertise se concentrait sur les cas spécifiques. Cette collaboration a été bénéfique, et à chaque intervention ensemble, elle a apprécié notre approche collaborative, reconnaissant nos compétences respectives et la valeur de notre travail d’équipe ».

Claire, peux-tu nous expliquer ses limites de compétence de ton point de vue de diététicienne ?

Claire Doray : « C’est important d’avoir conscience tous et toutes de ses limites de compétences quel que soit notre diplôme, notre attestation de réussite, ce sont des limites de compétences finalement qu’on doit tous avoir et je voulais vous transmettre deux choses importantes. 

– La première, c’est qu’en tant que diététicienne, 98% de ma patientèle sont des profils de patients bien portants. Ça veut dire que c’est 98% de personnes qui viennent pour un programme d’accompagnement minceur ou rééquilibrage alimentaire qui non pas de pathologie particulière, ce sont des profils que vous vous allez pouvoir accompagner en tant que Conseiller Nutrition Pleine Santé. Pour le 2% restants, on est un petit peu tous dans la même situation, diététicienne, conseillers Pleine Santé, nous devons tous s’entourer d’une équipe pluridisciplinaire (médecin généraliste, un diabétologue, l’endocrinologue) notre objectif est commun, nous devons créer un accompagnement unique autour de notre client, avec toute l’équipe de professionnels pour bien accompagner notre client dans le champ du respect de nos compétences. C’est vraiment important de bien le souligner pour ces 2%, on est tous dans la même situation 

Deuxième point important concernant les limites de compétences, c’est une expérience personnelle que je voudrais vous partager, pas plus tard que la semaine dernière dans mon groupe de 5 que j’accompagnais sur le mois de novembre, on m’a posé cette question : “que doit-on faire si une personne anorexique nous consulte et souhaite qu’on l’accompagne.”
Ce que j’expliquais à mon groupe de 5, personnellement moi ça fait une un petit moment que je suis diététicienne, que j’exerce, que je suis passionnée par la nutrition, je suis aussi spécialisée avec un DU troubles du comportement alimentaire. J’ai suivi une formation spécifique d’un an pour accompagner les anorexiques, les boulimiques, toutes les personnes qui ont des troubles du comportement alimentaire et pour autant malgré ce diplôme que j’affiche dans mon cabinet de diététicienne que je présente, bien j’ai pris la position de ne pas accompagner ce type de patients parce que j’estime que ce type de patients sont un profil extrêmement spécifique et qu’ils ont besoin d’un accompagnement Avec les personnes les plus compétentes, les personnes qui font que ça finalement dont c’est le domaine d’expertise. Moi j’estime que ce n’est pas mon domaine d’expertise, j’ai suivi ce diplôme vraiment par passion finalement, j’avais besoin de comprendre ces troubles du comportement alimentaire, mais disons curiosité. Aujourd’hui ce ne sont pas des profils que j’accompagne, même si j’ai la théorie de l’accompagnement de ce type de profil. Ce que je pense que c’est important de rester dans son domaine d’expertise. On peut être passionné par plein de sujets, avoir envie d’accompagner beaucoup de profils de patients de par notre expérience personnelle, par nos curiosités, nos passions aussi, mais par contre il faut vraiment rester dans le champ de nos limites de compétences et toujours s’en référer aux experts du domaine parce qu’on doit tous avoir cette rigueur de travail, cette lucidité dont on doit faire par rapport à notre champ de limite de compétences.

Si j’ai un conseil à vous donner, c’est vraiment de rester sur un persona qui est dans cet axe de profil de biens portant particuliers ».

Marie-Élodie, tu as décidé de passer le BTS diététique pour aller un peu plus loin, explique-nous tout cela ?

Marie-Élodie Fieschi : « Dès lors que j’ai validé mes formations, je me suis sentie légitime tout de suite. La conversion de mes bêta testeurs pour la moitié en client, le parcours entrepreneur au sein de 5.3 m’a beaucoup aidé, il est essentiel, c’est la base de tout. Et ça m’a donné ces deux outils, la légitimité pour me présenter, me reconvertir. Je suis passionnée par la Nutrition et et par le Bien-Être des personnes. Je me suis lancée dans ma première maison de santé, une fois installée dans ce bureau au sein même du cabinet que je me suis dit que j’allais accompagner des personnes bien portantes pour de la minceur, on est des Conseillers Nutrition Pleine-Santé, mais les médecins, ils vous envoient d’autres, certains de leurs patients avec une pathologie ou plusieurs pathologies. Débordant de passion, mon inscription a été soutenue par les médecins avec lesquels je travaille.

Je suis avec 8 médecins généralistes qui m’ont incité à m’inscrire au BTS diététique. Je suis en deuxième année. Ça fait pratiquement deux ans que je pratique en tant que Conseillère Nutrition Pleine Santé et je peux vous dire qu’il a beaucoup de personnes qui ont besoin d’être rééquilibrées au niveau de leur alimentation et suivi au niveau de leur poids pour atteindre la Pleine Santé ».

Claire, malgré la légitimité associée à ta profession, comment perçois-tu le sentiment de légitimité dans ton domaine d’activité ?

Claire Doray : « Effectivement moi là où je me sens légitime et là où j’estime que c’est mon domaine d’expertise, le rééquilibrage alimentaire, c’est la minceur et c’est l’accompagnement vers une alimentation IG bas, finalement ces trois champs d’action qui sont dans le domaine du bien-portant. Mais à partir du moment où on est sûr des pathologies, sur des maladies de Crohn, sur un syndrome des intestins irritables, sur un système inflammatoire par exemple ou bien encore sur des troubles du comportement alimentaire, je préfère de manière générale réorienter vers des spécialistes du domaine. Ça m’arrive de réorienter mes patients vers Solane qui est spécialisé dans les maladies inflammatoires ou bien vers un professionnel de santé pour troubles du comportement alimentaire comme je vous l’expliquais tout à l’heure. Moi vis-à-vis de ma légitimité je reste dans ce champ du rééquilibrage alimentaire de la minceur via l’alimentation IG bas donc nécessairement de l’accompagnement des diabétiques aussi, mais pour tous les profils que je ne maîtrise pas, pour lesquelles je ne suis pas une experte du domaine, ce que j’explique à mes patients, je préfère les réorienter vers les personnes qui sont dans ce domaine d’expertise et j’explique clairement que ça sort de mon champ de limite de compétences, c’est pas mon domaine d’expertise personnelle. Ça m’arrive très régulièrement de réorienter mes patients vers d’autres professionnels de santé et vers des Conseillers Pleine Santé de quand ils ont un champ d’action dans lequel je ne suis pas une spécialiste de l’alimentation du sportif, mais certains Conseillers Pleine-Santé, c’est leur domaine de prédilection et donc je réoriente mes patients ».

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