Bienvenue dans la découverte de cette nouvelle séquence WAOUW. Lors de ces séquences, nos élèves partagent leurs petites et grandes victoires dans leur parcours vers leur nouvelle vie d’entrepreneur du bien-être. Dans cet opus, nous découvrons l’histoire d’Aurélie, certifiée des formations 5.3 Nutrition, et Gestion du Stress & Préparation Mentale.
Comment en es-tu arrivé jusque-là ?
Aurélie Cavallo : « Comme beaucoup d’entre vous, une passionnée du bien-être depuis toujours. Cependant, il y a certains événements de ma vie privée qui ont fait que je m’y suis intéressée encore plus, notamment à travers des soucis de santé que j’ai eu et c’est vrai que ces soucis de santé m’ont amené à faire beaucoup de recherches. Je me suis rendu compte aussi que tout le personnel médical qui m’accompagnait n’était pas du tout formé à la nutrition. Il me manquait des conseils afin de m’aider à retrouver la santé que j’avais perdue à un moment donné de ma vie ».
Comment as-tu commencé ton activité ?
« J’ai fêté mes 1 an d’entreprise le mois dernier, j’ai commencé par les bêta-testeurs qui est une phase obligatoire, même si c’est de l’accompagnement gratuit pour moi, c’étaient déjà mes premiers clients, mes premiers accompagnements. Ma toute première cliente est une cliente que j’ai eu sur les réseaux sociaux. Elle m’a contacté un jour en message privé. On a fait ensuite un appel découverte et c’est comme ça qu’elle est arrivée dans mon univers.
À ce jour, j’ai fait exclusivement des accompagnements en distanciel ! Aujourd’hui, je développe mon activité en commençant à créer du présentiel avec des partenaires professionnels locaux ».
Comment as-tu développé ton activité ?
« J’ai tout simplement commencé par en parler aux professionnels qui me connaissaient et que je consultais. Le meilleur moment, c’est de profiter d’une consultation médicale que vous avez eu pour vous, pour parler de votre activité, puisque c’est un moment où le professionnel ne peut pas vous envoyer balader, il est là pour vous. C’est un moment que vous pouvez utiliser de façon adéquate. Ils sont à votre écoute.
Pour les autres que je ne connaissais pas. J’envoie un courrier pour une première prise de contact et puis après, j’organise un rendez-vous physique pour exposer mon projet ».
Est-ce que tu as trouvé cela facile ? As-tu eu des peurs ?
« Alors des peurs, j’en ai eu, je suis devenue entrepreneure beaucoup plus vite que prévu puisque j’avais fait une rupture conventionnelle avec mon travail qui n’était pas prévue. Quand je suis arrivée en formation nutrition, je m’étais laissé trois ans pour y accéder tranquillement, mais il y a des événements de la vie qui vous presse un peu. J’ai donc sauté dans le grand bain, pleine de trouille, me demandant si j’allais réussir, si j’allais trouver des clients, si j’allais être légitime et si j’allais être crédible.
Avec un recul d’un an, je peux vous dire que oui, c’est tout à fait possible. Je n’en vis pas encore parce qu’on est que sur une année et qu’on vous recommande trois ans, et il y a une raison pour cela. Aujourd’hui, je peux vous dire qu’en un an, j’ai accompagné pas loin de 30 clients, aussi bien en nutrition, en gestion du stress qu’en énergétique. Plus vous allez prendre confiance en vous en pratiquant, plus ça va devenir facile ».
Par quoi commencer lorsque l’on n’a pas encore terminé la formation ?
« Les bêta-testeurs pour commencer à tester votre pratique et votre accompagnement, ils se mettront dans la peau de vos futurs clients. Alors ça peut être aussi bien des personnes de votre famille, des amis ou des inconnus. Attention, quand c’est de la famille, des amis, il faut juste bien s’assurer qu’ils sont motivés parce que le but est vraiment que vous puissiez pratiquer et non pas avoir un « oui » pour faire plaisir.
La première action, c’est passer de la théorie à la pratique pour déjà mettre en place les outils que vous avez appris, pour prendre confiance en vous, et être plus à l’aise dans vos conseils et dans votre méthode d’accompagnement. Enfin, il est important d’acquérir cette expérience que vous pourrez retransmettre aux autres ».
Quel conseil donnerais-tu à nos élèves qui souhaitent se lancer ?
« De passer à l’action. J’avais ce défaut de vouloir être perfectionniste, c’est-à-dire de me lancer quand j’aurais créé le super programme, quand j’aurais le site internet qui serait fait, et quand les cartes de visite seraient faites. En réalité, il ne faut pas attendre, il faut se lancer et tout se construira au fur et à mesure ».
Est-il possible de vivre de sa passion ?
« Oui, il est possible d’en vivre ! Alors, c’est vrai que je n’ai pas accordé tout mon temps à mon entreprise, mais j’ai appliqué les conseils du Bloc 3 avec les trois sources de revenus.
Oui, c’est tout à fait possible d’en vivre. Justement, je suis en train de tester les partenariats professionnels pour avoir une source d’entrée de clients, mais non pas par les réseaux sociaux. Mon objectif est que les professionnels de la santé me fassent des recommandations pour que les clients arrivent dans mon univers d’une autre manière, et je sais que le bouche-à-oreille est la meilleure recommandation.
C’est quelque chose qui est très facile une fois que c’est mis en place, il faut juste être patient et se laisser le temps ».
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