Bienvenue dans la découverte de cette nouvelle séquence WAOUW. Lors de ces séquences, nos élèves partagent leurs petites et grandes victoires dans leur parcours vers leur nouvelle vie d’entrepreneur du bien-être. Dans cet opus, nous découvrons l’histoire de Liliya, certifiée des formations 5.3 Nutrition, et Phytothérapie.
Pourquoi es-tu passionnée par la Pleine-Santé ?
Liliya Reshetnyak : « Je m’appelle Liliya, j’ai 39 ans, je vis dans le Var et ma mission de vie, c’est d’aider les personnes qui rêvent de reprendre le pouvoir de leur vie grâce à des petits gestes du quotidien. J’ai choisi de me focaliser sur la nutrition, le sommeil et le mouvement, et je vais faire une formation de coach sportif aussi.
Je suis passionné par tous ces sujets depuis toujours. C’était par besoin que je me suis intéressé à tout ce qui est bien-être et développement personnel. Quand j’étais adolescent, je n’étais vraiment pas bien. J’étais en surpoids, j’étais déprimé et je passais une phase de boulimie.
Je n’étais vraiment pas bien, j’étais malheureuse dans mon monde et j’allais en chercher un autre dans le milieu du bien-être. Et petit à petit, ça a migré vers des choses plus concrètes. Ce n’est pas juste entre guillemets, juste développement personnel ou spirituel, je suis passé à des choses plus tangibles, comme la nutrition, notamment à cause de ma mère, qui m’a transmis de plusieurs manières en fait sa passion pour tous ces sujets ».
Pourquoi as-tu voulu lancer ton activité professionnelle ?
« J’étais à mon compte déjà depuis dix ans et à un moment donné, juste ma passion pour le sujet d’avant s’est un peu estompée. J’ai fait une pause l’été 2022 et très vite, comme je n’arrivais pas à rester en place, de toute façon, je me suis rendu compte que c’est vraiment vers le milieu du bien-être, qu’il fallait que j’y aille et j’ai fait une recherche sur Internet, sur les formations en nutrition et j’ai trouvé l’École 5.3 !
J’ai vraiment adoré l’état d’esprit du docteur Rougier, l’état d’esprit de la transmission et mon choix était très rapidement fait avec l’école.
Je suis très open sur mes réseaux sociaux sur ma vie professionnelle et j’ai déjà partagé aussi mon parcours personnel. J’ai posté des petites photos avant et après sur la perte de poids, sur le sport, l’alimentation et les bêta-testeurs. Ils sont venus comme ça.
Je n’avais même pas encore fini la formation, je venais à peine d’atteindre le module 3 et j’avais déjà mes trois bêta-testeurs. Je n’en voulais pas spécialement plus de trois. C’était parfait et je les avais à peu près au module 3 ! ».
As-tu commencé à accompagner tes premiers clients ?
« Oui, j’ai eu ma première cliente en décembre, là, j’en ai quatre et j’ai des appels “découverte” aussi à venir, donc potentiellement encore plus de clients ».
Comment as-tu recruté tes premiers clients ?
« Deux viennent des réseaux sociaux. Il y en a une qui vient d’Instagram. Il y en a une qui vient de LinkedIn et ça s’est passé avec les publications, tout simplement. Je n’ai pas activement prospecté pour, c’étaient vraiment les publications sur LinkedIn. C’est vraiment mon réseau chouchou depuis des années ».
J’ai un grand réseau de par mon ancien métier, même les appels “découverte” à venir, c’est vraiment des personnes de mon ancienne vie professionnelle. Après, j’ai un client de salle de sport et une cliente de mon réseau d’entrepreneurs local.
Je n’ai pas énormément de clients, mais j’ai quand même la moitié qui vient des réseaux sociaux. À ce stade, ça vaut le coup ! Et les appels découverte, je les mets en place parce que je me rends compte que c’est la meilleure manière pour moi de savoir déjà si je peux accompagner la personne et si la personne veut être accompagnée par moi.
C’est aussi le moment où je lui présente mes offres. J’ai enlevé mes offres de mon site internet. Elles n’y sont plus et c’est là que la personne, à mon sens, apprécie la valeur du contenu de l’offre et le prix ! ».
As-tu eu des difficultés à trouver tes premiers clients ? Croyais-tu que c’était possible ?
« Ça n’a pas été difficile du tout parce que je n’ai pas prospecté pour obtenir les premiers clients. Je n’ai pas fait grand-chose, sauf poster sur les réseaux sociaux. Donc non, de ce point de vue là, ça n’a pas été dur.
Par contre, sur le deuxième aspect de la question, est-ce que je croyais que c’était possible ? Honnêtement, pas du tout. Moi, je pars de très loin en termes de confiance en mes capacités. Je partais de zéro, je me suis dit, je n’ai rien à perdre, je vais y aller. Mais franchement, je n’y croyais absolument pas. Mais zéro, c’était pour ça que je suis aujourd’hui aussi heureuse d’en avoir ».
Quelles sont les prochaines étapes ?
« Je suis en train de développer des partenariats. J’en ai un qui s’est concrétisé avec un coach sportif. On a lancé une offre commune sur Instagram lors de la journée mondiale de la santé et j’ai 150 lettres de partenariats envoyées.
C’est mon objectif à court terme, ensuite, je souhaiterais développer le site en local et c’est pour cela que j’ai rejoint un réseau local d’entrepreneurs ».
Est-il possible de vivre de sa passion ?
« Totalement. Mais si je peux me permettre de rajouter un petit truc, je n’aurais jamais réussi sans l’accompagnement de l’école 5.3. Vous être exceptionnel pour ça ! Un grand merci ! ».
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