Jessica Zirignon

Jessica atteint une vie équilibrée grâce à sa passion pour la nutrition

Bienvenue dans la découverte de cette nouvelle séquence WAOUW. Lors de ces séquences, nos élèves partagent leurs petites et grandes victoires dans leur parcours vers leur nouvelle vie d’entrepreneur du bien-être. Dans cet opus, nous découvrons l’histoire de Jessica, certifiée des formations 5.3 Nutrition, et Gestion du stress.

Pourquoi es-tu passionnée par cet univers de la Pleine-Santé ?

Jessica Zirignon « Moi, au début, j’ai commencé à travailler à l’aéroport pendant 18 ans et puis je me suis fait licenciée pendant la période Covid et donc je me suis beaucoup intéressé aux réseaux sociaux, remise en forme tout ce qui était nutrition. Et puis je me suis auto challenger donc pendant trois mois, j’ai revu ma nutrition, j’ai fait du sport et j’ai perdu neuf kilos.

Beaucoup de gens de mon entourage m’ont demandé comment j’ai fait. J’ai appliqué ce que j’avais fait. Et c’est comme ça que j’ai commencé à vouloir m’occuper de tout le monde en même temps. J’ai commencé comme ça et par la suite, les gens m’ont demandé pourquoi je n’en faisais pas mon métier.

C’est vrai qu’à ce moment-là, comme j’avais été licenciée et que je ne savais pas du tout ce que j’allais faire. Je suis partie sur Internet et j’ai trouvé l’École 5.3. J’ai été tellement passionnée que j’ai été certifiée nutrition en deux mois. J’ai enchaîné tout de suite avec la gestion du stress, et puis après, c’était parti avec des bêta-testeurs que j’avais déjà eu en amont ».

Jessica atteint une vie équilibrée grâce à sa passion pour la nutrition.

Avais-tu envie d’accompagner ?

« Oui, mais comme je n’avais pas cette légitimité de demander de l’argent parce qu’il faut pouvoir être certifié. Un peu tout le monde peut se déclarer coach sur les réseaux ou n’importe où, et c’est vrai que le fait d’avoir cette certification, ça avait aidé beaucoup plus de gens à venir vers moi. C’est quand j’ai commencé à communiquer sur les réseaux, que les gens ont vu qu’il y avait la certification École 5.3, ils ont dû aller se renseigner et les gens sont venus plus facilement vers moi ».

Comment as-tu commencé ? Comment as-tu obtenu tes premiers clients ?

« J’ai appliqué la méthode de l’École 5.3, tout simplement en communiquant sur les réseaux, et en faisant du partenariat, donc on avait en amont des lettres types que j’ai remis un petit peu à ma sauce. J’ai un petit peu envoyé à tout le monde. J’ai fait un périmètre par rapport à ma ville, et puis, j’ai envoyé aux médecins, ostéopathes, kinés, dentistes, gynécologues, cardiologues, enfin tout le monde.

J’ai eu deux partenariats avec un médecin généraliste et un ostéopathe qui m’ont envoyé des clients. Et puis là, récemment, chez un dentiste, donc j’ai laissé mes cartes. Quand je suis reparti chez la dentiste, elle m’a dit qu’il y avait pas mal de gens qui avaient pris ma carte, donc j’allais être contactée dans pas longtemps.

Et puis les réseaux, les réseaux Facebook, Instagram et LinkedIn. Ma première cliente était sur LinkedIn. Elle m’avait contactée pour un partenariat pour faire un atelier nutrition en sophrologie, et puis, j’ai tellement bien vendu mon programme, qu’elle m’a pris un programme, un coaching ».

Comment tes partenaires ont réagi à ta proposition de collaboration ?

« Ils ont trouvé ça original parce que ce que l’on est en train de faire, c’est un métier d’avenir. En fait, ça n’existe pas pour l’instant, ça existe que sur les réseaux sociaux avec les influenceurs, mais nous, on n’est pas des influenceurs et à la différence des influenceurs, c’est qu’on accompagne.

On ne va pas vendre un programme et on va laisser à l’abandon la personne, qu’on va le coucher. Comme je dis, on va l’accompagner, c’est trois mois minimum parce que je leur dis qu’il faut vraiment trois mois minimum pour changer au niveau de la tête et du corps. Je travaille avec les 5 facteurs du vivant, donc forcément, je travaille sur tout.

Je ne vais pas faire que de la nutrition. Je fais un package, je vends mon programme, je mets de la nutrition et de la gestion de stress. Bientôt, je vais mettre aussi de la naturopathie puisque je suis en cours de formation. C’est-à-dire que si la personne me parle de nutrition, je lui dis qu’il n’y a pas de souci, mais au fur et à mesure, on va échanger.

Je vais forcément toucher le point de la gestion du stress, et là, effectivement, elle va me dire oui, c’est vrai, le matin, je suis tout le temps énervé, et donc je vais mettre un petit coup de respiration gestion sur le stress et puis, après, c’est parti pour le coaching en globalité ».

Est-ce un vrai besoin de ta clientèle ?

« Aujourd’hui, c’est un réel besoin. Comme on dit, on respire, on mange, on est en mouvement, on ressent des émotions, on pense, donc c’est vraiment la globalité.

Je fais toujours des appels découverts de 20 à 30 minutes, donc gratuit, et j’apprends à connaître la personne. Je laisse la personne parler tout simplement, et j’arrive à voir que même s’il y a de la nutrition, qu’il faut travailler, bien forcément, il y aura de la gestion du stress et aussi de la remise en forme ».

Combien de clients accompagnes-tu ? Depuis quand ?

« J’en ai dix et je les accompagne depuis décembre donc 3 mois. Je me suis formé en plus à côté, en drainage lymphatique, donc je fais aussi les massages. Je me suis formé en réellement trois mois et puis c’est à ce moment-là que je suis parti sur les réseaux où j’ai fait les partenariats.

Donc 10 clients aujourd’hui. Pour parler sans tabou, j’en ai 8 qui ont un accompagnement à 149 € par mois et j’en ai 2 à 199 € par mois.

Pour tous ceux qui nous écoutent. Si vous avez des doutes, des peurs, c’est normal, on passe tous par là. Moi aussi, j’ai suivi les ateliers et les séquences. Je ne savais pas si j’avais pris la bonne décision, mais à un moment donné, on se dit on n’a pas de revenus derrière, si on veut manger quelque chose, il faut y aller.

À force d’en parler, on ne va pas attirer la personne qui est en face de nous certes, mais ça va rester dans la tête, et peut-être que quelqu’un de son entourage aura besoin de nous.

Petite anecdote, hier, j’étais en course. Il y a une dame qui a fait tomber son paquet de pâtes. Je lui dis attention madame, il y a des pâtes qui sont tombées, donc on a commencé à parler. Et puis au final, je me suis rendu compte qu’elle avait beaucoup de stress et donc j’avais dans ma poche une carte de visite.

Elle m’a dit oui, je vous appelle dans la semaine, même si elle ne m’appelle pas maintenant, je sais qu’elle a ma carte et que le jour où elle aura besoin, elle viendra vers moi ».

Te sens-tu légitime devant tes clients ?

« Avec mes bêta-testeurs, je n’avais pas de problème. Je les connaissais en amont, donc ça allait, et puis ça s’est fait tout naturellement. Mais c’est vrai que lorsqu’on a une nouvelle personne qu’on ne connaît pas (qu’on doit découvrir parce que c’est vrai qu’il faut qu’on apprenne à connaître la personne), il faut gagner la confiance ».

Combien de temps durent tes visioconférences avec tes clients ?

« Alors moi, je ne fais que de la visioconférence. Je fais 1h et puis après, en suivi, je fais 30 minutes ou 45 minutes. Cela dépend, mais c’est généralement 1h. Si la personne a vraiment envie de parler, c’est 1h15, mais 1h c’est bien.

Sur WhatsApp, je suis disponible cinq jours sur sept, donc ils me font des partages de leurs courses, des repas, des étiquettes alimentaires et leur placard. Des fois, une petite interrogation surprise, on ouvre le placard. Qu’est-ce qu’il y a dans le placard ? Ah ça, ce n’est pas bon, allez à la poubelle, et on fait aussi des recettes ».

Quel conseil donnerais-tu aux personnes qui souhaitent vivre de leur passion comme toi ?

« De ne pas avoir peur de suivre les ateliers, de ne pas hésiter à revenir vers vous les experts, de faire des échanges. On a tous nos réseaux, donc il ne faut pas avoir peur. On est là pour s’entraider, de bien suivre ce que l’École 5.3, nous dit de faire, parce qu’on peut dire oui, bon, ils disent ça, c’est facile, ils en vivent.

Mais non, faut le faire. Si on ne le fait pas, on se prend le mur dans la figure et là, forcément, on est déçu. Donc ces conseils-là, ce n’est pas des conseils qui rentrent dans une oreille et qui repartent. Il faut vraiment les prendre en considération et c’est avec ça que vous pourrez avancer, et puis garder le moral, le sourire, quoi qu’il arrive ».

Est-il possible de vivre de passion ?

« Oui, je suis déjà à peu près à 1500€ uniquement avec la nutrition et la gestion de stress, parce que je ne compte pas à côté, donc oui, c’est possible ! ».

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