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Fabienne Leroux

La passion de Fabienne pour la nutrition lui a ouvert de nouvelles portes

Bienvenue dans la découverte de cette nouvelle séquence WAOUW. Lors de ces séquences, nos élèves partagent leurs petites et grandes victoires dans leur parcours vers leur nouvelle vie d’entrepreneur du bien-être. Dans cet opus, nous découvrons l’histoire de Fabienne, certifiée des formations 5.3 Nutrition, et Gestion du stress. Elle suit également la formation phytothérapie en ce moment !

Pourquoi as-tu suivi ces 4 formations ?

Fabienne Leroux  « Alors, j’ai rencontré par téléphone Aurélie, et c’est surtout à elle qu’il faut dire merci, car elle a su me donner l’envie de tout suivre. C’est vraiment elle que je remercie en première !

Et ensuite, pourquoi ? J’ai commencé par la nutrition et j’ai vraiment aimé. J’ai adoré le fonctionnement de l’école, et ça m’a donné envie d’aller au bout à chaque fois !

Pourquoi es-tu passionné par cet univers du bien-être ?

« Ça fait déjà une dizaine d’années que j’écris de façon intuitive des relaxations guidées. J’ai adoré tous les partages que j’ai faits autour de moi, avec ma famille, des amis et cela s’est agrandi par les amis de mes amis. J’ai vraiment aimé les bienfaits de ce côté d’entraide, de partage, et de relaxation, afin de prendre soin de soi ».

Passionnée par la nutrition, Fabienne se sent heureuse d’aider les autres.

Comment es-tu venue à t’inscrire à l’École 5.3 ?

« Alors au démarrage, je cherchais pour savoir ce que je pouvais faire pour aller plus loin dans le bien-être. Moi-même, j’ai eu des soucis de santé assez graves et j’ai pris conscience de notre corps et de l’importance du corps, et j’ai envie d’apprendre à le connaître. Merci Facebook qui m’a proposé l’École 5.3 et je suis allée dessus et ça s’est enchaîné de façon très naturelle.

J’ai aimé la disponibilité et la facilité. Étant moi-même maman de trois enfants, je travaille à côté. L’École permet de tout concilier, même si c’est vrai que ce n’est pas toujours facile ».

Comment as-tu commencé cette activité ?

« Je me suis lancée en tant qu’auto-entrepreneur. Ensuite, j’ai démarré en même temps les massages, la nutrition et la gestion du stress puis j’ai développé les partenariats un peu tout au même moment. Pour moi ce qui est important, c’est que tout ce que j’ai appris à l’école, je me le suis appropriée.

C’est-à-dire que j’ai passé du temps à vraiment vivre tout ce qu’on m’a enseigné pour voir ce que ça faisait sur moi, parce que c’était important de pouvoir transmettre quelque chose que moi-même, j’ai été convaincue et ça, c’est vraiment important et c’est comme ça que ça a commencé. J’ai aimé ce que ça a fait sur moi et j’ai envie de le partager avec les autres ».

Comment as-tu conjugué tes 2 métiers (maroquinière et conseillère pleine santé) ?

« Je suis passé à mi-temps dans mon premier métier pour voir comment ça passait et surtout parce que je ne voulais pas de charge mentale. Je ne voulais pas être traitée par l’argent. Je ne voulais pas exercer en me disant qu’à la fin du mois, il fallait que je puisse m’en sortir. Je me suis dit que je vais commencer à mi-temps et laisser voir comment ça évolue. Et là, je sais que le mi-temps n’est plus possible, donc ça va être rapidement le pleinement qui va être bien.

Le Bloc 3 (Entrepreneuriat) m’a beaucoup aidée aussi et je vous invite pour ceux qui veulent faire que la nutrition et la gestion du stress à faire quand même, l’entrepreneuriat parce qu’il y a plein d’outils à récupérer et ça permet quand on a des doutes ou on ne sait pas trop où aller, de vraiment avoir la bonne direction. J’ajouterais que c’est un outil qui est plutôt sympathique pour ne pas trop se perdre ».

Comment as-tu fait pour recruter ton premier client ?

« J’ai commencé par le bouche-à-oreille, c’est-à-dire que ça a commencé par les réseaux. J’ai commencé à présenter ce qui j’étais et ce que je pouvais proposer, et j’ai eu des contacts comme ça au début des gens qui se renseignent, puis une personne qui essaye, et puis cette même personne va me conseiller à sa voisine et voilà, ça fonctionnait vraiment comme ça.

Également, étant amoureux de ce que je fais, j’en ai parlé avec mon médecin généraliste, avec des sages-femmes et en fait, ça fait effet boule de neige, c’est-à-dire qu’ils m’ont fait confiance. Je leur ai présenté qui j’étais en leur disant, moi, je propose ça. Est-ce que vous, ça peut vous intéresser d’avoir un bras droit dans ce que vous faites et pour accompagner ? Et ça a été reçu de façon très positive. Ça m’a beaucoup aidé. Aujourd’hui, le système santé m’apporte beaucoup en aide et en accompagnement, donc c’est vraiment super ».

Arrives-tu à travailler en pluridisciplinarité ?

« Oui, ils ont confiance. En fait, ils sont venus chez moi, et ils ont vu comment je fonctionnais. On s’est proposé nos services mutuellement, et quand on est habité par ce que l’on propose, en face, on peut nous dire que oui, ça marche toujours, c’est génial ».

Quel serait le conseil que tu donnerais aux élèves de l’École pour se présenter aux professionnels de la santé ?

« Moi, je dirais qu’en premier lieu, l’École offre vraiment de très chouettes outils. Maintenant, ça ne fait pas tout. On a les premiers outils puis après faut aller creuser dans les bonus de tous les outils et dans ses propres recherches. Je dirais qu’il faut trouver sa signature aussi, moi, je sais que dans ce que j’ai trouvé à l’École, ça a été donc la nutrition qui m’a accompagné en premier.

La gestion du stress pour moi a été assez révélatrice et la phytothérapie, je la recommande, parce que moi, j’adore ! C’est vrai qu’il faut trouver sa propre signature. Qui vous êtes ? Qu’est-ce qui résonne vraiment chez vous et si ça ne résonne pas, n’y allez pas, parce que les gens vont rechercher ce qui résonne en vous » !

Combien de clients accompagnes-tu en nutrition et en gestion du stress ?

« Alors j’en ai cinq en nutrition, et en gestion du stress, j’en ai une dizaine facilement » !

Combien génères-tu de revenus par mois de cette nouvelle activité ?

« Aujourd’hui, si je prends le mois dernier, je suis à 1900€ de salaire » !

Quel serait le conseil que tu donnerais aux élèves de l’École qui souhaitent vivre de leur passion ?

« D’être eux-mêmes, faites-vous confiance et soyez patients parce que, ça ne commence pas d’un seul coup, et je crois qu’il faut croire. Investissez sur vous-même, c’est pour moi le plus important. Ensuite, laisser aller cette confiance et les gens croiront en vous et ça va se faire tout seul.

Par contre, effectivement, au premier mois, on ne gagne pas gros et il faut juste être patient pour se faire confiance. Il faut attendre que ça fasse son chemin, mais ça fonctionne ».

Est-ce qu’il est possible de vivre de sa passion ?

« Oui, à 100 %, c’est possible » !

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