Sophie a fait le parcours pleine santé

Après avoir fait la formation de conseiller en nutrition, Sophie s’est lancée dans la formation de conseiller en gestion du stress et préparation mentale. Voulant transmettre les bienfaits qui ont pu lui être apportés, elle ouvrira très prochainement son cabinet. 

Aujourd’hui elle nous parle de son parcours au sein de l’École 5.3 et des enseignements qu’elle en a tirés.

Qu’est-ce qui vous a amené à faire ces formations ?

J’ai 50 ans et je me suis retrouvé au chômage. Je travaillais en ophtalmologie et mon patron est parti à la retraite. Je me suis dit que c’était le moment de me reconvertir. J’ai toujours aimé la nutrition parce que j’ai eu beaucoup de problèmes de poids à force de jouer avec des régimes et, en m’intéressant au rééquilibrage alimentaire, j’ai réussi à m’alléger de 27 kg en un an.

On n’arrêtait pas de me demander quel régime j’avais utilisé. Cela n’étais pas un régime, ce n’était une méthode pour prendre soin de moi et de ce que je mettais dans mon assiette. Je me suis dit “pourquoi ne pas en faire profiter d’autres personnes ? Si cela a fonctionné pour moi ça fonctionnera pour les autres”

Qu’avez-vous pensé des cours et du format d’apprentissage ?

J’ai adoré à 100 %. C’était des modules assez court qui nous permettait de ne pas décrocher. C’est très bien synthétiser, on peut aller plus loin grâce aux liens fournis et se cultiver personnellement. La formation était très poussée et on s’y retrouve facilement.

Qu’est-ce que vous avez pensé du suivi ?

L’équipe est toujours présente : de l’inscription à la certification et même après avec l’accès à vie. Ils nous suivent pendant les cours, les ateliers de groupes, de révision, la préparation au jury… Surtout à distance, c’est un réel atout, on n’est pas seul.

Qu’avez-vous pensé de la pédagogie du Dr Rougier et sa méthode des 5 facteurs du vivant ?

On pourrait penser qu’une formation en ligne est superficielle, mais elle est très bien faite. Le Dr nous embarque dans ses explications qui sont mises à notre portée. On nous donne continuellement envie d’aller voir la suite. Tous les intervenants s’adaptent à nous et on sent réellement cette envie de transmettre.

Vous faites partie des entrepreneurs du bien-être, comment ce parcours vous a aidé ?

Il y a quelques années, j’étais à mon compte dans un autre domaine donc j’avais besoin d’être suivi. Les choses ont changé et j’avais besoin d’être accompagné par des experts. On a des personnes sur le terrain donc ce n’est pas que de la théorie.

C’est un parcours que l’on fait à notre rythme et chaque semaine, on apprend énormément avec chaque atelier. D’ailleurs, le fait qu’ils soient en replay, nous permet de ne pas en louper une miette.

On y apprend à travailler ensemble. Fabrice nous a bien fait comprendre qu’il fallait travailler à plusieurs. On n’est pas jugés et on peut échanger continuellement avec les autres. On n’a pas peur de partager nos idées. Et si elles partent dans tous les sens, on nous aiguille et on nous donne des pistes à explorer.

La méthode 333 vous a-t-elle été utile ?

Je ne connaissais pas du tout et ne serait-ce que pour le groupe de 3 personnes, c’est formidable.

Ça nous permet de se projeter à des dates bien définies pour avoir des vrais objectifs. Cela m’a éclairé sur de nombreux sujets et je me suis rendu compte que je partais dans mon projet avec des outils dans les mains et une équipe derrière pour me soutenir.

Par rapport à vos formations, quels changements avez-vous pu observer ?

Au niveau professionnel, en démarrant la formation je n’avais pas encore d’idée sur ce que je voulais faire. L’École 5.3 a su m’épauler pour créer et concrétiser mon projet. On a toutes les cartes en main pour accompagner les gens et surtout, nous sommes conscients de la limite de nos compétences. On sait ce qu’on peut et ne peut pas faire.

Personnellement, je me suis retrouvée. Pouvoir reprendre mon indépendance était quelque chose d’important. Dans ces métiers, c’est complètement possible et, plus on avance, plus on a d’idées.

Ces outils sont magiques et je n’ai qu’une hâte : les transmettre !